- Home
- >
- Grand format
- >
- Photojournalisme à la croisée des chemins
Olivia Colo, Wilfrid Estève, Mat Jacob
Photojournalisme à la croisée des chemins
Photojournalisme. Un terme chargé d’histoire. Un mot qui sent l’aventure, riche de toutes les facettes du monde… et touché par la réalité de notre époque, celle du marché roi, de la rentabilité obligatoire. Le photojournalisme a considérablement évolué en une décennie, des points de vue déontologique et technique. Animés par leur passion, les photographes explorent de nouvelles voies. Le photojournalisme est aujourd’hui » à la croisée des chemins « , c’est à lui d’inventer son avenir pour continuer à raconter le monde. Ce livre témoigne du fourmillement imaginatif et des défis lancés à la profession. Il est aussi un ouvrage pratique à l’usage des jeunes reporters, soucieux de trouver des réponses aux questions qu’ils se posent, en termes de technique, de droit ou de statut.
Vous aimerez aussi
Vitriol Menthe
Ce livre est le roman vécu d'une icône. Une femme rare. Célèbre et inconnue. Ange et démon. Louve et agneau. Entre l'amour et la mort. Les larmes et les rires. Elle est mon amie, ma soeur d'âme. Elle a bien voulu me confier une partie de ses secrets. Certains étaient aussi les miens puisque nos chemins se sont croisés, superposés, fondus. Fille de campagne, militante féministe, actrice des tout premiers films X, elle fut surtout patronne dans les vingt dernières années de clubs libertins mythiques – le 106 puis le 41 -, où se mélangeaient anonymes et célébrités. Je vous propose de suivre avec elle, au-delà de son chemin personnel, l'évolution des moeurs sexuelles avouées ou cachées de la France buissonnière. Tout ce qui est raconté ici est vrai, étonnamment vrai. C'est aussi l'électrocardiogramme d'une époque étrange. C'est surtout l'histoire d'une trajectoire étonnante et violente. Il y a dans tous les recoins de la débauche d'immenses pudeurs, d'incommensurables trésors d'amour pur et des profondeurs d'âme insondables. Elle s'appelle Denise. C'est son vrai nom.
Le communisme, une passion française
Une analyse fouillée et sans concession des causes de la persistance du communisme en France. Au moment où mondialisation, antilibéralisme, crise européenne et chômage élevé exhument la lutte des classes, Marc Lazar en décortique les ressorts, via le communisme. Déconsidéré comme expérience historique du pouvoir, dénué de crédibilité comme projet, le communisme jouit d’une étonnante bienveillance d’ordre moral. Ses partis sont groupusculaires, mais l’affiche séduit encore. Le passé communiste borne l’horizon de notre présent, car il exprime à la fois la passion soviétique, la passion totalitaire, la passion de la nation, la passion du social et la passion du bonheur. C’est l’histoire de cette curieuse passion tricolore que brosse, pour la première fois, Marc Lazar.
Liberty
Alerte rouge : quatre têtes nucléaires vendues par un général russe véreux au groupe terroriste « Sword of Islam, » lié à Ben Laden, viennent d’être récupérées sur le sol américain par des cellules dormantes. NSA, CIA, FBI… à Washington, sous l’autorité de l’amiral Jake Grafton, les services de sécurité entrent immédiatement en action. Leur mission : démasquer à tout prix les terroristes et neutraliser les bombes. Fût-ce au mépris des sacro-saintes libertés individuelles. Mais ce que Grafton ignore encore, c’est la cible des criminels. Un symbole pour les États-Unis, comme pour le monde entier : la statue de la Liberté… Un techno-thriller stupéfiant de réalisme par l’un des maîtres du genre, qui dévoile les connexions terroristes mondiales, de l’Égypte à la Russie, de l’Afghanistan au Viêtnam, sur fond d’après-11 septembre.
Nature morte à la grenade
Les intrigues d’Inga Abele ont pour cadre la Lettonie d’aujourd’hui où ses personnages se débattent dans des relations compliquées et parfois douloureuses. » Analyse profonde, psychologie impitoyable et paysages forts « , voici comment le style de ce jeune auteur est caractérisé par ses pairs. Ce premier livre d’Inga Abele à paraître en français réunit quatre nouvelles traduites du letton par Gita Grinberga et Henri Menantaud : Nature morte à la grenade, Les fleuves de nos pays, Offrez-moi un violon, Les années d’amour.