- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Rachel and Natasha, the Stanislaski sisters
Nora Roberts
Rachel and Natasha, the Stanislaski sisters
Though they were raised in the Old World traditions of their loving immigrant family, tempestuous Natasha and cool, classy Rachel are ready for a new world of love….Stormy Natasha’s wild, fiery beauty captivates Spencer Kimball. But will the handsome single dad prove the one man capable of breaching her well-fortified heart and Taming Natasha? When rugged Zack Muldoon needs a tough, no-nonsense lawyer, Rachel’s not what he has in mind till he discovers there’s more to this long-legged beauty than meets the eye.and finds himself Falling for Rachel.
Vous aimerez aussi
Fortune de France 08 – L’enfant-Roi
Henri IV est tombé sous le poignard de Ravaillac. Louis XIII n’a que neuf ans et une mère, Marie de Médicis, qui entend bien conserver le plus longtemps possible, au profit du Florentin Concini, la réalité du pouvoir… Le chevalier Pierre-Emmanuel de Siorac est le témoin des sept années au cours desquelles l’enfant-roi, qu’il sert avec un dévouement absolu, va en secret tisser son réseau, s’initier aux affaires du royaume, jusqu’au coup de force qui lui donnera le trône à quinze ans et demi.
La part d’ombre
Ce livre navigue entre confession et colère. Confession d’un journaliste qui rend des comptes, livre ses doutes et ses contradictions, dit ce que, jusqu’ici, il n’avait pas écrit. Colère d’un citoyen qui, explorant les coulisses d’un règne présidentiel, ses secrets et ses mensonges, se surprend à affronter des valeurs étrangères à la gauche. Il ne s’agit pas ici de l’homme Mitterrand mais d’un système, le mitterrandisme, où les courtisans devancent les militants, où les fidélités priment l’éthique, où l’engagement s’efface devant l’arrangement. Sans en démentir la part de vérité, cette part d’ombre éclaire la cohérence d’une politique convenablement bourgeoise mais, à coup sûr, rien moins que socialiste.
Un lit dans l’hexagone
Une passion aussi violente qu’inattendue s’abat sur deux êtres que tout sépare, hormis un certain sens de l’humour et de la comédie. Elle n’attend rien, sinon de conserver sa chambre d’hôpital, d’y languir paisiblement jusqu’à la fin de ses jours. Une gentille petite vie de mort après avoir enduré toutes les calamités du siècle (Auschwitz, goulag, exil…). Lui, son psy, est un célibataire endurci, débordant de jeunesse, d’énergie, et aux appétits vigoureux. Il pratique de multiples sports, trouve son plaisir tantôt du côté des filles, tantôt du côté des garçons. Leur amour s’insinue lentement, comme certaines maladies, presque à leur insu. Un amour sous forme de guérilla, sans merci, entre la force d’inertie d’une malade et la volonté forcenée du médecin de la tirer de là. « Vous m’avez possédé par exaspération », dira-t-il plus tard. Ils vivront, vieilliront dans la stupeur de leur passion, persuadés que le saut qu’ils ont fait du “je” au “nous” est la plus grande distance que des êtres aient jamais parcourue.
Destinée
Au premier regard, ils surent qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Pourtant tout les opposait. Il était à la tête d’un immense empire joaillier, il ne comptait plus ses conquêtes. Elle arrivait d’Angleterre avec son seul sourire, son mystère et sa jeunesse. Hélène a subjugué Edouard de Chavigny. Il lui offre son amour et l’entraîne dans un tourbillon de luxe et de volupté. Il ignore encore les sombres manigances du destin… Quelque temps après, Hélène disparaît. Fou de douleur, Edouard met tout en oeuvre pour la retrouver. Tâche délicate, car désireuse d’échapper à son douloureux passé, Hélène s’est forgé une nouvelle identité.

