- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Scarpetta
Patricia Cornwell
Scarpetta
Oscar Bane a exigé son admission dans le service psychiatrique de l’hôpital de Bellevue. Il redoute pour sa vie et prétend que ses blessures lui ont été infligées au cours d’un meurtre ; meurtre qu’il nie avoir commis. Il ne se laissera examiner que par Kay Scarpetta, médecin légiste expert, l’unique personne en qui il ait confiance. À la demande du procureur, Jaimie Berger, Kay se rend à New York City et entreprend cette enquête avec son époux Benton et sa nièce, Lucy. Elle n’est sûre que d’une chose : une femme a été torturée et tuée, et d’autres morts violentes sont à craindre. Kay se lance et très vite une vérité s’impose : le tueur anticipe avec précision où se trouve sa proie, ce qu’elle fait, et pire encore, les avancées des enquêteurs. Kay Scarpetta devra faire face à l’incarnation du mal…
Vous aimerez aussi
Mauvaise base
Plage de sable fin cur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, le célèbre agent sportif Myron Bolitar essaie d'oublier ses dernières mésaventures. Mais quand Win, richissime Sociopathe et néanmoins meilleur ami arrive en jet privé, les ennuis ne sont pas loin. Esperanza, son associée, est accusée d'avoir assassiné un de leurs clients une Star du base-ball sur le déclin. Pas vraiment la publicité rêvée pour MIB sports… Ni une ni deux, Myron fait son come-back pour voler au Secours d'Esperanza et prouver l’innocence de celle que tout accuse. Le seul problème, c'est qu'elle ne veut pas de son aide. Mais Myron n'est pas du genre à renoncer, surtout quand il considère le cas comme une affaire personnelle. Car entre un passage éclair dans un club de trans, une propriétaire des Yankees dont la fille a disparu, un contrôle antidopage truqué et l'image d'une adolescente en train de mourir sur son ordinateur, la propre investigation de Myron le conduit à un seul autre suspect : lui-même…
Crimes à vendre
Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIème arrondissement. Signé : Le Furet. Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. A moins que… A moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIème arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Un crime est si vite arrivé… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIème qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…
Tous nos soleils sont morts
Les promoteurs immobiliers ne sont pas forcément les bienvenus en Bretagne, surtout quand on les soupçonne de malhonnêteté. C’est le message que veut faire passer Hadès, une organisation autonomiste, au riche promoteur Jacques Sabatier. Mais une nuit d’hiver, à Vannes, l’opération d’intimidation tourne mal. Gilou, un des membres d’Hadès, meurt pendant la pose d’une bombe sur un des chantiers de Sabatier. Un accident ? Pas si sûr… avant l’explosion, des témoins ont entendu un coup de feu. La cellule antiterroriste de Rennes va se heurter à une affaire bien plus compliquée qu’il n’y paraît. Tout le monde va enquêter sur tout le monde dans cette histoire ou chacun semble avoir quelque chose à reprocher à l’autre, y compris au sein d’une même famille, y compris au sein d’une même organisation…
Dans la vallée des ombres
Harold Appleby est un drôle de type. Son métier capturer des serpents à sonnette pour en faire commerce. Son plus proche ami : Sam, un python de six mètres. Son péché mignon : séquestrer des petites filles. Alors, quand Suzanne Selby, une gamine de onze ans, disparaît, il y a de quoi s’inquiéter. Surtout que les recherches effectuées par la police s’avèrent vite inefficaces. L’enquête piétine… C’est Booker Reeves, un policier à la retraite, engagé par Rachel, la mère de Suzanne, qui va prendre la relève. Car il faut faire vite, très vite. Un malade comme Harold Appleby, ça n’attend pas. Et un animal comme Sam, ça mange beaucoup…