Walter Farley
Sur les traces de l’étalon noir
Dès 10 ans
Tous les spectateurs, dressés dans les tribunes, crient en désignant le cheval qui commence à se détacher du peloton : » C’est Feu de Joie !… Feu de Joie en tête ! » Cette course, il faut que Feu de Joie la gagne. Il doit montrer qu’il est le digne fils de Black. Il doit prouver qu’il a la même fougue et la même rapidité que son célèbre père. Ce soir, sur la piste d’un immense hippodrome, Feu de Joie court sur les traces de l’Etalon Noir…
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En Anglais – CHERUB agents are all seventeen and under. They wear skate tees and hemp, and look like regular kids. But they're not. They are trained professionals who are sent out on missions to spy on terrorists and international drug dealers. CHERUB agents hack into computers, bug entire houses, and download crucial documents. It is a highly dangerous job. For their safety, these agents DO NOT EXIST. Mainstream animal protection groups have always stayed within the law, but a new band of radical liberationists argues that if humans and animals are equal, then it's right to kill or threaten one human in order to save the lives of many animals. In a new mission, James and the other CHERUB agents must go up against the most radical group yet in a daring and violent attempt to save hundreds of lives… including their own.
Le Tartuffe
En laissant Tartuffe entrer dans sa maison, Orgon ne pouvait pas imaginer qu'il allait mettre en péril sa fortune, son honneur, son bonheur et l'unité de sa famille. Et pourtant, c'est bien à quoi travaille « l'imposteur », mais toujours à l'insu du maître de maison : si Tartuffe courtise la femme d'Orgon, c'est sous prétexte de l'entretenir de religion; s'il spolie ses enfants, c'est sous couvert de les remettre dans le droit chemin; s'il s'approprie les cordons de la bourse, c'est pour mieux organiser la dévotion familiale. Comment, dans ces conditions, Orgon aurait-il pu s'apercevoir de son aveuglement et donner au faux dévot la correction qu'il mérite? Avec Tartuffe, Molière livre une satire grinçante de toutes les hypocrisies, satire qui fait mouche et qui, 300 ans plus tard, reste toujours de mise.
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Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.