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Alex Garland
The beach
After discovering a seemingly Edenic paradise on an island in a Thai national park, Richard soon finds that since civilized behavior tends to dissolve without external restraints, the utopia is hard to maintain. (Nancy Pearl)
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Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.
Smilla et l’amour de la neige
Difficile pour Smilla Jaspersen de croire en la mort accidentelle d’Esajas. Impossible même parce que Smilla ne croit pas qu’un enfant atteint de vertiges chroniques puisse sauter du toit d’un immeuble. Parce qu’elle s’était prise d’affection pour ce gamin groenlandais, délaissé par sa mère. Parce que Smilla est groenlandaise, elle aussi, et que sa mère, esquimaude, lui avait appris « l’amour de la neige ». Et que la neige ne ment pas, contrairement aux hommes. Commence alors pour cette femme solitaire et obstinée une quête pour la vérité et l’honneur qui l’amènera sur les traces d’un bateau en route pour les terres arctiques, à la découverte d’une infâme machination qui risque de lui coûter la vie… En lisant ce livre, votre bouche crache des petits nuages de vapeur que le froid rend visible. C’est l’excitation, le suspens, l’émotion aussi que contiennent ces pages. Un récit réaliste, maîtrisé, habité par la beauté des terres extrêmes et la lutte d’un peuple pour son identité. –Hector Chavez
Funeral in Berlin
En Anglais – FUNERAL IN BERLIN is a spellbinding tale of espionage and its counter in which double and triple crosses are common. Berlin with its infamous wall symbolized the Cold War as did no other place. It was like theatre, but is war for real. « Len Deighton has always been fascinated with the Cold War in a way that could be called scholarly…one always feels that the intricacies of espionage and of the Soviet Union’s spy apparatus rest on serious research. And he writes with effortless mastery. » (The Wall Street Journal). « A most impressive book, a chronicle of our times, in which the tension, more like a chronic ache than a stab of pain, never lets go. » (The London Evening Standard)
La brute apprivoisée
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