- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The captive
Colette
The captive
En Anglais – He doesn’t even recognize her, and she in turn feels nothing for him. Renee is now living as an independent woman on a small income from an inheritance. She has left the music hall and is thinking once again of writing seriously. This time, however, she falls in love with her friend May’s lover Jean. Renee is resigned to putting on the shackle when she becomes his mistress. It is the shackle you wear when you fall in love, and cannot extract yourself emotionally.
Vous aimerez aussi
Pratique de l’équitation d’après les maîtres français
L’équitation de tradition française est le fruit d’une longue histoire débutant dans les académies équestres de la Renaissance. Inspiré par les écuyers italiens ayant créé leurs propres académies, Antoine de Pluvinel fonde la sienne en 1594 ; il est, avec Salomon de La Broue, un précurseur de cette tradition. François Robichon de La Guérinière poursuit cet enseignement au manège des Tuileries. L’équitation de tradition française se construit dans les académies qui enseignent aux jeunes nobles l’art de monter à cheval. L’accent est mis sur l’élégance dans des ballets de chevaux et des jeux équestres outre la seule capacité à chasser ou à se déplacer à cheval. Les manèges de Versailles jouent un rôle tout particulier qui permettent à l’équitation de tradition française de rayonner dans toute l’Europe sous forme de modèles d’architecture notamment là où la langue française s’imposent aux cours européennes.
Nez-de-Cuir, gentilhomme d’amour
(Reliure toile ornée de l’éditeur) – Nez-de-Cuir (Roger de La Tainchebraye) règne sur une cour innombrable en Normandie. Et l’on ne connaît guère de femme qui ait longtemps résisté à son charme. Sa prestance, son regard de feu, son audace resplendissent sur un fond de triste légende : il porte un masque de cuir pour cacher l’horrible blessure reçue pendant les guerres de l’Empire et il séduit pour se rassurer…
Témoignage pour l’histoire
Paul Stehlin est un jeune capitaine de l’armée de l’air et brillant germaniste lorsqu’il rejoint son poste à Berlin en 1937. Affecté à l’Ambassade de France comme Attaché de l’Air adjoint, il y sait se faire apprécier par ses ambassadeurs et en particulier par André François Poncet à qui on doit deux remarquables ouvrages « de Versailles à Potsdam » et « Souvenirs d’Ambassade à Berlin ». »Témoignage pour l’Histoire » relate la montée en puissance de l’armée de l’Air allemande, de façon d’autant plus précise que le jeune attaché a su gagner l’amitié de Göring et du Général Bodenschatz, dont on sait qu’ils ont été les initiateurs de la construction de l’outil militaire aérien du III° Reich, qui va en surprendre plus d’un…. en France! Or le capitaine Stehlin n’a eu de cesse de prévenir ses interlocuteurs parisiens des dangers qui guettent la France…il ne sera pas entendu! Les renseignements recueillis à Berlin sont au mieux critiqués au pire ignorés d’un Haut-Commandement dépassé par les évènements, qui se succèdent comme l’attaché de l’air adjoint les a vu venir. Le livre du futur général Stehlin nous fait vivre en direct les contacts succéssifs pris avec Hitler, jusqu’à ce que la guerre contraigne les diplomates à rentrer à Paris. Commence alors la guerre pour le jeune aviateur envoyé en Finlande,puis bientôt en Norvège où il sera témoin de l’incurie du Haut-Etat-Major.Ses talents de linguiste et sa grande connaissance des responsables allemands le conduisent à oeuvrer un moment à Vichy. Il y est désigné pour accompagner Darlan lorsque l’intéressé rencontre Hitler, la veille de Noël 1940. Le récit que Stehlin fait de cet entretien est d’un grand intérêt.Mais on sent dans le livre que le jeune aviateur entend prendre part aux combats. Avec son groupe de chasse III/6, il rejoindra l’Afrique du Nord, d’où il participera à la campagne de France. On le verra en Corse, puis ce sera… de Gaulle. Paul Stehlin finira sa carrière comme chef d’état-major de l’armée de l’air française et ironie de l’Histoire il sera sur les rangs de ceux qui accueilleront Adenauer à Mourmelon en juin 1962, à la veille de la signature du Traité sur la coopération franco-allemande de 1963. Le livre de Paul Stehlin est le seul témoignage écrit par un jeune militaire affecté à Berlin au sein de l’ambassade, alors que se prépare la seconde guerre mondiale.
Barbe-Rouge – Défi au roy
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !