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Colette
The captive
En Anglais – He doesn’t even recognize her, and she in turn feels nothing for him. Renee is now living as an independent woman on a small income from an inheritance. She has left the music hall and is thinking once again of writing seriously. This time, however, she falls in love with her friend May’s lover Jean. Renee is resigned to putting on the shackle when she becomes his mistress. It is the shackle you wear when you fall in love, and cannot extract yourself emotionally.
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Les Diaboliques
« Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Il n'y en a pas une seule à qui on puisse dire le mot de « Mon ange » sans exagérer. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, – si elles sont des anges, c'est comme lui, – la tête en bas, le… reste en haut ! » – Il fallut près de vingt-cinq ans à Barbey pour le voir paraître : il y travaillait déjà en 1850. À la fin de la Commune, Barbey revint en Normandie. Il y acheva le livre en 1873.
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En janvier 1907, Justin Weill décide — avec l’aide de son ami d’enfance Laurent Pasquier, qui met entre parenthèses ses études de médecine, Jean-Paul Sénac un jeune poète talentueux, Armand Larseneur un musicien, Bernard Jusserand un philosophe, Testevel un correcteur de journaux, Raoul Brénugat un peintre — de fonder une communauté d’intellectuels qui travailleraient à mi-temps dans l’imprimerie (avec l’aide technique du dévoué Jules Picquenart, un maître imprimeur) pour le bien de tous et pour apporter les ressources nécessaires à la vie du groupe, puis vaqueraient librement à leurs spécialités et œuvres créatrices. Le groupe, avec l’aide d’un mécène, le marquis de Fonfreyde, qui veut éditer ses livres, loue une vaste maison à Bièvres dans le sud de Paris et nomme la communauté « Le Désert ». Petit à petit, les tensions apparaissent entre les jeunes gens et les rêves de fraternité et d’humanisme s’évanouissent au fil des mois qui passent.
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