John Le Carré
Un amant naif et sentimental
Un amant naïf et sentimental est un météore singulier dans le parcours de John le Carré. Alors qu’il signait des romans d’espionnage très documentés, il invente une machine à remonter le temps, une rêverie sur nos enfances perdues, une fantaisie sur le mode mineur et cocasse, une parabole sur l’amour et son contraire.
Vous aimerez aussi
Les aventures de Mark Twain
Cet ouvrage retrace les jeunes années de l'auteur et sa longue vie mouvementée : ses aventures comme prospecteur, sa carrière de journaliste et de conférencier, ses triomphes et ses déceptions d'écrivain et d'éditeur. Ses aventures personnelles, embellies par son imagination et son esprit irrévérencieux, ont donné naissance à ses livres les plus célèbres.
Les rois maudits – Tome III – Les poisons de la couronne
Traduits dans le monde entier, Les Rois maudits ont remporté un succès exceptionnel et sont considérés comme un des modèles contemporains du roman historique.
Les Poisons de la Couronne ressuscite, presque jour par jour, les conflits, les intrigues, les haines et les crimes du règne de Louis X le Hutin, qui ne dura que dix-huit mois, mais dont les conséquences devaient être capitales pour la monarchie française. Lorsqu’il meurt empoisonné, en juin 1316, c’est la première fois depuis plus de trois siècles qu’un roi de France décède sans laisser un héritier mâle.
Diane Lanster
Une étrange maladie de peau qui lui livre bataille depuis qu’il est né, la polio qui le laisse infirme et claudiquant depuis l’enfance, et toutes les frustrations qui s’en suivent, Thierry n’a pas eu l’existence facile. Il a un don, cependant : le dessin. Mais quand il se retrouve élève dans un atelier, à dix-huit ans, un autre péril le menace : le cours est mixte. Diane, sa blondeur, sa beauté, ses jupes écossaises et ses attentions, voici une calamité nouvelle à quoi il n’est guère préparé … le plaisir doux-amer de l’amour mal partagé.
Le jardin des bêtes sauvages
Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : « Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé? » Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon coeur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute cou-leur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan.