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Jean Rolin
Un chien mort après lui
Au début de ‘Moby Dick’, Ismahel, sur le point d’embarquer observe que le capitaine du Péquod porte le nom d’un roi biblique qui était ‘fameusement impie’, et dont le corps fut livré aux chiens. Nombreux sont les héros de la guerre de Troie qui n’échappèrent que de justesse au sort. Ainsi les rapports entre l’homme et le chien ne se bornent-ils pas à cette gentille histoire, aux circonstances controversées, de la domestication de l’un par l’autre : autant que la littérature universelle, les chiens errants sont là pour nous le prouver. Et c’est sur les traces de ces derniers que l’auteur d »Un chien mort après lui’ parcourt le monde depuis les banlieues de Moscou jusqu’aux confins des déserts australiens
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