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Frédéric Chéhu
Une année au Poney-club
Tu aimes les poneys et tu veux connaître les moments forts d’une première année d’équitation ? Bienvenue au poney-club ! Au fil des pages, tu vas découvrir le village équestre, l’équipement du cavalier, apprendre à soigner un poney, vivre les premiers galops, assister à la naissance d’un poulain… À travers le quotidien du poney-club, tu connaîtras mieux ton animal préféré. Des conseils pratiques et des informations te permettront d’en savoir plus sur le vaste monde de l’équitation, la compétition, les disciplines équestres, les académies… tout ce qui fait rêver les jeunes cavaliers. En selle pour un voyage au pays des poneys !
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Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Marker, segnali d’allarme
En italien – New York, Manhattan General Hospital: persone sane e giovani, sottoposte a interventi di routine, muoiono ventiquattr’ore dopo l’operazione. La cosa insospettisce Laurie Montgomery, medico legale dell’ospedale. La dottoressa si getta a capofitto nell’indagine, anche se ostacolata da superiori e colleghi che pensano si tratti di pure coincidenze. Le morti però aumentano e Laurie è sempre più convinta che sia opera di un serial killer: tutte le vittime hanno infatti mappe genetiche simili. Che qualcuno abbia bisogno di materia su sui fare esperimenti? Il tempo scorre rapido ed è necessario trovare una soluzione all’enigma anche per salvare la vita alla stessa Laurie, che, positiva a un marker tumorale, scoprirà di avere un legame particolare con la vicenda…
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.