- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Une aventure de Barbe-Rouge – Khair le more
Charlier , Hubinon
Une aventure de Barbe-Rouge – Khair le more
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour Barbe Rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Vous aimerez aussi
Le vagabond des limbes -1- Le vagabond des limbes
Axle Munshine le savait : sur la planète Xylos, il est interdit de rêver. Pour avoir enfreint cette règle, le voilà transformé en Vagabond des limbes, condamné à errer à travers l’espace à bord du Vaisseau d’argent, pourchassé par la Guilde, et poursuivi par le souvenir obsédant de la blonde Chimeer, tapie dans les replis de sa mémoire, entre rêve et réalité.
Les dossiers des OVNI – Les soucoupes volantes existent
Tout le monde en a discuté. À tort et à travers, parce que personne, jusqu’ici, ne s’est donné la peine de mener une enquête serrée afin de savoir si les OVNIs, les « soucoupes volantes », existaient vraiment. Après avoir tracé l’historique de la « guerre des soucoupes » parmi les hommes (« Le Livre noir des soucoupes volantes »), Henry Durrant nous fait participer ici à son enquête journalistique, investigation qui s’est vite transformée en véritable étude, précise et minutieuse. En ne considérant que le corpus des cas reconnus comme authentiques, en n’y prélevant que des échantillons significatifs, présentant des constantes caractéristiques, l’auteur, vous fera progresser d’expérience en incident, de constat en constat, de dossier en dossier. Chaque dossier complété, refermé, trouvera sa suite naturelle dans l’ouverture du suivant. Vous prendrez ainsi connaissance de témoignages, puis d’évidences : le faisceau de ces évidences constituera un « commencement de preuve », au sens juridique du terme; alors viendront les preuves elles-mêmes, flagrantes, aveuglantes, accablantes. La production des pièces à conviction, la « critique des critiques », feront grincer bien des dents chez les tenants de la société scientifique établie. Henry Durrant va jusqu’à la démonstration par l’absurde du plus grand problème de tous les temps. La vérité se trouve dans Les dossiers des OVNIs. C’est à vous, maintenant, de l’en faire sortir.
Journal de prison
« Le Times » c’est le petit nom qu’Albertine donnait à son journal de prison. Ce journal se confond avec le temps lui-même, dont il essaie de tuer le désolant étirement. En 1959, date du présent texte, les « Lettres à Julien », publiées par ailleurs, sont une chronique (« potineuse », dit-elle) de la vie quotidienne – tentative pour en partager avec le destinataire les menus ou les graves événements. Le « Journal écrit pour elle-même, prend au contraire de la hauteur à l’égard des vicissitudes contingentes de tous les jours. Des pages entières, ou des passages brefs en sont repris, soit dans les romans qui la rendront plus tard célèbre, soit dans les « Lettres à Julien ». En quoi ce texte, dont le public a enfin connaissance, peut être regardé comme source et matrice de toute l’inspiration ultérieure. C’est dire son importance historique, indépendamment de l’exceptionnelle beauté d’une méditation où se révèle toute la maturité d’un écrivain qui possédait déjà, à vingt-deux ans, la pleine ,maturité de sa pensée et de son art.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui