- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Une aventure de Barbe-Rouge – Le roi des sept mers
Charlier , Hubinon
Une aventure de Barbe-Rouge – Le roi des sept mers
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour barbe rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Vous aimerez aussi
Don Juan
C’est à une fête fabuleuse que nous convie l’auteur, qui réinvente le destin de Don Juan en un prodigieux roman historique, fait d’amour, de sang et de chevauchées à travers l’Europe d’avant la Révolution, toute entière acharnée à la perte du « corrupteur ».
[…]
Course poursuite tour à tour picaresque et badine, romantique et tragique.
[…]
Rencontres de moines fous, de bourreaux, de grands seigneurs assassins, de musiciens inspirés, de joueurs, de tricheurs, d’orphelines éplorées et de grandes dames criminelles. D’où ce fulgurant roman d’aventures qui évoque tout à la fois Alexandre Dumas et Casanova, mais aussi le Laclos des « Liaisons dangereuses » et les plus fantastiques des romans noirs.
Helvethika 2
Flash-back. 1999, le parti du S.O.A. a mené des expérimentations en toute clandestinité à la frontière de la Confédération Helvétique. Cette expérience, dénommée Helvethika, impliqua dix protagonistes rigoureusement sélectionnés, dont le célèbre milicien Abraham Bearn.
Histoire de la Gestapo
Gestapo, ces trois syllabes ont, pendant douze années, fait trembler l’Allemagne, puis l’Europe entière. Des centaines de milliers d’hommes ont été traqués par les agents qui opéraient sous le couvert de cette « raison sociale », des millions d’êtres humains ont souffert et sont morts sous leurs coups ou sous ceux de leurs frères, les SS.
Jamais, dans aucun pays et à aucune époque, une organisation n’atteignit cette complexité, ne détint un tel pouvoir, ne parvint à un tel point de « perfection » dans l’efficacité et dans l’horreur.
A ce titre, la Gestapo demeurera dans la mémoire des hommes comme l’exemple d’un instrument social dévoyé par des êtres sans scrupules.L’être humain est un fauve dangereux. En période normale, ses instincts mauvais demeurent à l’arrière-plan, jugulés par les conventions, les habitudes, les lois, les critères d’une civilisation. Mais, que vienne un régime qui non seulement libère ses impulsions terribles, mais en fasse des vertus, alors du fond des temps le mufle de la bête réapparaît sous le masque fragile du civilisé, déchire cette mince écorce et pousse le hurlement de mort des temps oubliés.Ce que le nazisme, incarné quelque sorte dans la Gestapo, a tenté de réaliser, et qu’il a failli réussir, c’est la destruction de l’homme, tel que nous le connaissons, tel que des millénaires l’ont façonné.
Le veilleur de nuit
Au premier abord, un simple fait divers: un homme jeune, dans le secret de son jardin, creuse un puits profond qu’il aménage; il enlève une jeune fille et l’y séquestre. Mais lorsque, assistant au forage de Siméon Leverrier, le lecteur pénètre au coeur de l’homme, et sonde ses intentions, l’envoûtement commence. Le veilleur de nuit poursuit la réalisation d’un rêve apparemment puéril, fruit de ses lectures hâtives. Le trésor enfoui qui l’attire, est-ce la fortune, le vestige d’un passé révolu ou un autre soi-même à peine soupçonné? Le drame se reconstitue au cours d’un débat (ou plutôt d’un procès) qui oppose le coupable silencieux – devant un tribunal ou en son fors intérieur? – aux investigations d’un juge terriblement perspicace.

