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Charlier , Hubinon
Une aventure de Barbe-Rouge – Le roi des sept mers
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour barbe rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
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Ah, l'Amour ! Est-ce encore et toujours ce qui fait tourner le monde ? De toute évidence, c'est en tout cas ce qui fait follement virevolter Julie, Claire et Cécile… Toujours aussi pétillantes de jeunesse, toujours aussi éclatantes de joie de vivre, toujours aussi gourmandes de nouvelles expériences et toujours aussi folles de beaux mecs, nos super-nanas sympas continuent de mordre dans la vie à pleines dents. Hélas, tout ce qui se croque, n'est pas forcément tout sucre, tout miel. Certaines friandises, vous laissent parfois un goût amer…
Histoire de la Gestapo
Gestapo, ces trois syllabes ont, pendant douze années, fait trembler l’Allemagne, puis l’Europe entière. Des centaines de milliers d’hommes ont été traqués par les agents qui opéraient sous le couvert de cette « raison sociale », des millions d’êtres humains ont souffert et sont morts sous leurs coups ou sous ceux de leurs frères, les SS.
Jamais, dans aucun pays et à aucune époque, une organisation n’atteignit cette complexité, ne détint un tel pouvoir, ne parvint à un tel point de « perfection » dans l’efficacité et dans l’horreur.
A ce titre, la Gestapo demeurera dans la mémoire des hommes comme l’exemple d’un instrument social dévoyé par des êtres sans scrupules.L’être humain est un fauve dangereux. En période normale, ses instincts mauvais demeurent à l’arrière-plan, jugulés par les conventions, les habitudes, les lois, les critères d’une civilisation. Mais, que vienne un régime qui non seulement libère ses impulsions terribles, mais en fasse des vertus, alors du fond des temps le mufle de la bête réapparaît sous le masque fragile du civilisé, déchire cette mince écorce et pousse le hurlement de mort des temps oubliés.Ce que le nazisme, incarné quelque sorte dans la Gestapo, a tenté de réaliser, et qu’il a failli réussir, c’est la destruction de l’homme, tel que nous le connaissons, tel que des millénaires l’ont façonné.
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La première vertu de ce livre brûlant, c’est l’éloquence. Elle s’exhale d’un cœur en deuil, elle jaillit d’une âme indignée. Je dis bien d’une âme. L’homme de Dutourd a une âme. Il paraît que l’homme aurait une âme. Pas une conscience intellectuelle. Une âme. Qu’il y en aurait de grandes et de petites. On voit que Dutourd ne recule devant nulle nouveauté. N’en doutons plus : Les taxis de la Marne datent un tournant de la sensibilité française.
De quoi se tordre
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