- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
Charlier , Hubinon
Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
LA GUERRE DES PIRATES : Voguer au large des Caraïbes est devenu trop risqué pour Barbe-Rouge. Sur les conseils d’Eric, il change de cap et se retrouve, à bord du Faucon Noir à Pondichéry, capitale des Établissements Français de l’Inde. Le début d’aventures périlleuses qui vont successivement le mener à la recherche de navires disparus, à enlever la fiancée du Grand Moghol et à affronter une flibustière qui à bord du Sans-Pitié, a décidé de mettre un terme à ses exploits…
Vous aimerez aussi
Ce siècle appelle au secours
On connaît le grand romancier qu’est Gilbert Cesbron. Mais on connaît moins, et c’est injuste, son talent d’essayiste que nous pouvons découvrir dans ce volume. Frémissant de sensibilité généreuse, Ce siècle appelle au secours nous dépeint quelques ‘ hommes qui, par leur humanité ou leur foi, ont retenu l’attention de l’auteur. II nous entraîne aussi à la suite d’un Anglais dont les réflexions tantôt cocasses tantôt féroces stigmatisent les lâchetés de notre civilisation. Enfin, dans la dernière partie de cet ouvrage, « Qui se souvient de Babylone», Gilbert Cesbron porte son regard aigu sur ce que fut notre pays après la tourmente de 1940.
Le train de la mort – Les sorciers du ciel (2 volumes)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES SORCIERS DU CIEL – Dans les camps de concentration, les S.S. les appelaient « Sorciers du Ciel », ou « Chiens du Ciel », ou « Clowns du Ciel ». Ils étaient prêtres, religieux, pasteurs. De Mauthausen à Buchenwald, d’Oranienburg à Auschwitz, dans chaque kommando de travail ou d’extermination, ils ont subi le sort commun. Sur les sept mille « Sorciers du Ciel » déportés, cinq mille ont disparu dans les fours crématoires et les charniers. Les survivants, pour la plupart, devront leur salut à une intervention du Vatican qui permettra, dans le dernier trimestre de 1944, le rassemblement des ecclésiastiques à Dachau, Mais si Dieu était « toléré » dans un block de Dachau, il était « interdit » partout ailleurs sur le « territoire pénitentiaire » du Nouvel Empire.
LE TRAIN DE LA MORT – Témoignage d’un lecteur : « » » Difficile pour un tel ouvrage de déterminer les étoiles ; il s’agit ici de témoignages vrais,autobiographiques et biographiques. C’est l’histoire du train de la honte, du train qui a vu toutes les atrocités qui ont découlées de la chaleur, de la soif, de la déshydratation, de la suffocation, de la peur, de la haine,du délire, de la folie passagère, de la violence, du sang, de l’urine, de la merde … de la mort et de la décomposition des corps. Comment des hommes ont-ils pu survivre dans de telles conditions? Une fois enfermé dans les wagons, c’est l’humiliation et la sauvagerie à l’état brut. Pourquoi a-t-il fallu de telles conditions de mort? « » »
Mamma Lucia
Il y a longtemps que l’Amérique est considérée comme un lieu d’asile, un Eldorado où tous les espoirs sont permis à qui ne craint pas l’ouvrage, imitant l’exemple donné par les célèbres Pères pèlerins (les Pilgrim Fathers) qui ont débarqué d’un petit voilier appelé Mayflower un jour de 1620 pour fonder les premières colonies anglaises sur le sol américain. Au fil des siècles, des hommes et des femmes de bien des nations sont partis à leur tour pour cette terre promise, notamment d’Italie — comme l’a fait Lucia Santa. Parce que les siens étaient trop misérables, Lucia Santa n’a pas hésité à épouser par procuration le fils d’un voisin émigré à New York et à s’en aller à dix-sept ans fonder avec lui une famille à Manhattan, dans le quartier ouest où s’est implantée une importante colonie italienne. Leur troisième enfant n’est pas encore né quand Anthony Angeluzzi meurt accidentellement. Des voisins l’aident à trouver un autre mari qui puisse les prendre en charge. Frank Corbo est un illettré que la ville oppresse et qui fuira à sa manière cette oppression. Lucia poursuivra seule avec énergie la réalisation de son rêve de prospérité. Mamma Lucia, c’est l’intégration et l’ascension sociales d’émigrés italiens dans leur patrie d’adoption entre 1928 et 1940 racontées avec tendresse dans un récit vibrant de vérité.
Traduit du vent
A la source des quatre-vingts contes que réunit ce recueil, il y a cette petite phrase d’un personnage d’Andersen : Mère prétend que tout ce que tu regardes peut devenir une aventure. Elle est la définition de l’esprit d’enfance; elle est aussi celle de la poésie. Elle exprime une vérité que l’on oublie en devenant une « grande personne » et que l’on retrouve lorsqu’on s’aperçoit enfin que les grandes personnes n’existent pas…Enfant à cheveux gris (comme l’écrit ailleurs Gilbert Cesbron), nous demeurons sensibles aux charmes, aux secrets, aux terreurs de notre premier âge.