- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
Charlier , Hubinon
Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
LA GUERRE DES PIRATES : Voguer au large des Caraïbes est devenu trop risqué pour Barbe-Rouge. Sur les conseils d’Eric, il change de cap et se retrouve, à bord du Faucon Noir à Pondichéry, capitale des Établissements Français de l’Inde. Le début d’aventures périlleuses qui vont successivement le mener à la recherche de navires disparus, à enlever la fiancée du Grand Moghol et à affronter une flibustière qui à bord du Sans-Pitié, a décidé de mettre un terme à ses exploits…
Vous aimerez aussi
Eugénie Grandet – Tome II
Félix Grandet a été tonnelier. Grâce à un sens aigu des affaires et une avarice plus que prononcée, il a réussi à faire fortune en profitant des événements de cette époque instable. Autrefois maire de Saumur, il fait maintenant fructifier sa grande fortune tout en faisant croire à sa femme et à sa fille Eugénie qu’ils sont moyennement riches. Les habitants de Saumur, plus au courant de la fortune du père Grandet, voient en Eugénie Grandet le plus beau parti de la ville, et deux notables la courtisent ardemment. Celle-ci, d’une innocence réelle et d’une naïveté prononcée, ne se doute de rien. Jusqu’au jour où arrive son cousin Charles Grandet, fils du frère du père Grandet. Celui-ci est envoyé à Saumur par son père, riche négociant de Paris qui ayant fait faillite éloigne son fils avant de se suicider. C’est Grandet qui annonce son malheur au jeune homme. Plongé dans le désespoir, Charles trouvera dans sa cousine une âme tendre, les deux jeunes gens ne tarderont pas à s’éprendre secrètement l’un de l’autre.
Toutes les femmes sont fatales
La plage de Rio de Janeiro, les rues de New York, Paris… Une chanson à la mode, « Toutes les femmes sont fatales », réentendue en ces lieux et en quelques autres par un journaliste plus préoccupé par les aventures de la chair que par celles du monde : pour Bertrand Carnéjoux, l’amour le plus physique ne signifie pas le moins passionné. Une Brésilienne, une Américaine, des Françaises… Beaucoup de femmes, trop de femmes. Entre sa vingtième et sa quarantième année, le narrateur fait l’apprentissage de l’amour vrai. Il découvre peu à peu au-delà de l’anonyme beauté des femmes, leur cœur et peut-être leur âme. L’âme et le cœur, surtout, de Marie-Prune, fiancée perdue que l’on pourrait espérer retrouvée si Bertrand Carnéjoux n’était pas l’homme qu’il est. Le narrateur est aux prises avec un double univers : celui, concret, des choses ; celui évanescent, des pensées. L’un et l’autre tout aussi réels, ou du moins pas plus illusoires l’un que l’autre.
Zacharie l’escarcelle
Le Prix Nobel de littérature a attiré l’attention du monde entier sur l’oeuvre de Soljenitsyne. Ses grands romans ont reçu un accueil unanime et enthousiaste. Nous avons réuni dans ce recueil des petits textes moins connus qui avaient paru dans différentes revues, ou journaux, et avaient été repris dans un Cahier de L’Herne et aux éditions Julliard. Par le souffle et par le ton, ces petites pièces diffèrent des grandes fresques polyphoniques que sont Le pavillon des cancéreux et Août 1914. Elles ne sont pas moins représentatives de l’immense talent de Soljenitsyne.
Merry mister Meddle
Poor Mister Meddle is a very merry pixie always willing to help out and do good deeds, but he never quite gets it right. One day his meddling gets him into trouble with Aunt Jemima – he serves her up a treacle pudding covered in glue and gets chased home by a Biggle

