- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Charlier , Hubinon
Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Vous aimerez aussi
Aroma, the cultural history of smell
En anglais – Smell is a social phenomenon, given particular meanings and values by different cultures. Odours form the building blocks of cosmologies, class hierarchies, and political odours. They can enforce social structures or transgress them, unite people or divide them, empower or disempower. The authors argue that the sociology of smell is repressed in the modern West, and its social history ignored. This book breaks the « olfactory silence » of modernity. It offers the first comprehensive exploration of the cultural role of odours in Western history – from antiquity to the present. It also covers a wide variey of non-Western societies. Its topics range from the medieval concept of the « odour of sanctity », to the aromatherapies of South America, and from olfactory stereotypes of gender and ethnicity in the modern West to the role of smell in postmodernity. Its subject matter will fascinate anyone who likes to nose around in the inner workings of culture.
Les 186 marches (Mauthausen)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
Forteresse moyenâgeuse de granite et de béton sur-plombant le Danube, encerclée d’un infranchissable réseau électrifié de barbelés, le camp de Mauthausen, aux 150 000 morts, fut pendant des années le calvaire quotidien de plusieurs milliers de détenus.
Mauthausen, c’est avant tout « Les 186 Marches », « Le Grand Escalier » qu’il faut gravir, chargé de pierres, dans la bousculade du pas de course, sous les coups de crosse ou du gummi, tous les jours par tous les temps, avec sa faim, avec sa soif, avec sa peur, que l’on soit trop jeune ou trop vieux, agonisant ou convalescent. Mais Mauthausen, camp d’extermination par le travail, c’est aussi le camp d’extermination « par traitements plus raffinés et secrets », réservés à certaines catégories spéciales de déportés : républicains espagnols, Tchécoslovaques après l’attentat contre Heydrich, prisonniers de guerre soviétiques, Français Nuit et Brouillard, etc. // « Les 186 Marches » est un nouveau chapitre de cette enquête historique sans précédent, consacrée par Christian BERNADAC à la déportation. Des centaines de témoignages inédits et de dépouillement d’archives jusqu’ici inaccessibles ont permis à l’auteur de retracer la vie et la mort quotidienne de Mauthausen, mais aussi les événements de l’histoire du camp les plus spectaculaires et les plus méconnus.
La croule
Au cours d’une « croule » –la chasse aux bécasses à l’époque des amours, au mois de mars – Jérôme Meret s’effondre, terrassé par une crise cardiaque. Du jour au. lendemain, Carine, sa fille de dix-huit ans, se retrouve seule maîtresse du domaine « Le Brizon », avec ses fermes, ses bois, sa plaine, ses étangs :un beau domaine malheureusement grevé de dettes, peu à peu mené à la ruine par son propriétaire. « Le Brizon », c’est toute la vie de Carine. La terre, les animaux, la chasse, comment pourrait-elle s’en passer ? Mais comment éviter de vendre ? Comment lutter contre les créanciers qui fondent sur elle ? Révélée à elle-même par Marc Seliavine, un homme d’affaires jusque-là peu scrupuleux, et ayant révélé à celui-ci la puissance et la pureté de la vie, cette vie que l’on découvre seulement dans un contact étroit avec la nature, Carine trouvera-t-elle auprès de celui qu’elle aime – follement, comme tout ce qu’elle, fait l’aide qu’elle en attend ? L’entreprise dans laquelle elle s’est lancée : sauver « Le Brizon », n’est-elle pas démesurée ? Peut-on tout posséder sans risquer de tout perdre ? La Sologne, avec ses paysages, son gibier, que’ Paul Vialar sait merveilleusement décrire, ajoute son pouvoir d’incantation à ce combat de chaque instant que mène une femme de chasse, une femme tout court, pour conquérir le bonheur.
La France de Vichy, 1940-1944
Etait-il possible au début des années 1970 d'écrire une histoire politique du régime de Vichy ? Un universitaire américain, Robert O. Paxton a relevé le défi : refusant de prendre au pied de la lettre la kyrielle des témoignages pro domo dont la littérature politique s'est enrichie, passé la guerre et la libération, il a appuyé toute son étude sur les écrits contemporains des événement et surtout mis à profit la richesse des archives allemandes et américaines qui remettent en question, sur tant de points, les assertions de ceux qui avaient voulu, à la défaveur d'une défaite nationale et sous l’œil de l'occupant, entreprendre une nouvelle restauration.