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Charlier, Jijé
Une aventure de Tanguy et Laverdure- La terreur du ciel
Le 12 juillet 197…, un transport militaire Noratlas, ayant Michel Tanguy, à son bord, décolle de l’aéroport du Bourget, mis en état de siège. Dans la soute de l’appareil s’alignent dix énormes containers étanches. Ils renferment la plus fabuleuse rançon jamais exigée par un criminel : deux milliards de francs lourds.
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Livre en mauvais état. » Comment ! vous avez du pain blanc ! » Les deux Persans entraient dans le salon, le consul et sa femme, et c’était celle-ci qui s’extasiait devant la table couverte de sandwiches joliment arrangés.
Or, il n’y avait pas une minute qu’on disait à Adil bey :
» – II n’existe que trois consulats à Batum : le vôtre, celui de Perse et le nôtre. Mais les Persans sont infréquentables. »
C’était Mme Pendelli qui parlait ainsi, la femme du consul d’Italie, et celui-ci, affalé dans un fauteuil, fumait une mince cigarette à bout rose. Les deux femmes se rejoignirent en souriant au milieu du salon au moment précis où des sons, qui n’avaient été jusque-là qu’une rumeur vague dans la ville ensoleillée, s’amplifiaient et soudain, au coin de la rue, éclataient en fanfare.
Alors tout le monde gagna la véranda pour regarder le cortège.
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