- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- Y a pas d’embouteillage dans le désert
Moussa Ag Assarid
Y a pas d’embouteillage dans le désert
Moussa Ag Assarid est né au nord du Mali vers 1975, de parents nomades. Le jeune Touareg part pour la France un jour de 1999, et troque les dromadaires de son enfance pour notre mode de vie. Il raconte alors sa découverte de la France avec un regard étonamment pur, une justesse d’esprit et une finesse d’intelligence incroyables. Il est à la fois émerveillée et étonnée de ce pays, de sa nature, de ses habitants, de ses habitudes, de tout ce que nous ne voyons plus à force de le côtoyer, d’en user ou d’en abuser.
Vous aimerez aussi
Piccolo – Le sage d’Asco
Son baccalauréat en poche, Jean, surnommé « Piccolo » à cause de sa petite taille, quitte sa Corse natale pour La Sorbonne, où il étudie les lettres. Il y découvre Jaurès, le socialisme et le pacifisme avant d’être mobilisé dans le 38è régiment d’infanterie, à Saint-Etienne. Comme toute une génération sacrifiée par la guerre de 14-18, c’est à ses années d’enfance heureuse et à l’espoir d’épouser la belle Laure qu’il devra de tenir dans l’enfer des tranchées de Verdun et de la Somme…Et aussi à ce supplément d’âme qui fait que ce sage en herbe cultive la moindre pépite de bonheur de son jardin intérieur. Jean-François Mattei nous fait découvrir dans ce roman ses racines corses et plus particulièrement la vie de son grand-père paternel, le « sage d’Asco ».
Une vie de Vincent Van Gogh
A trente-sept ans, le 27 juillet 1890, Van Gogh se suicide. En cette année du centenaire de sa mort et de la grande rétrospective d’Amsterdam, le livre de David Sweetman renouvelle la vision, souvent stéréotypée, de cet artiste légendaire. Peintre le plus célèvre des Temps modernes, Van Gogh a donné lieu à beaucoup de littérature. Aujourd’hui, alors que ses oeuvres jamais vendues de son vivant crèvent tous les plafonds des ventes aux enchères, il est salutaire et passionnant d’aller voir qui se cachait vraiment derrière le mythe.
Et si le bonheur était en nous
Dans sa lutte incessante contre la drogue, Marie-Christine d’Welles a rencontré plus de deux cent mille personnes lors de ses conférences dans toute la France. Elle a compris que tous veulent une chose pour eux-mêmes et pour ceux qu’ils aiment : le bonheur. Elle est ainsi partie à sa recherche auprès de personnes qui, par leur vie, leur métier, leur passion, semblent le posséder ou savent nous l’offrir. À partir d’une réflexion sur ce qui lui procure du bonheur, elle a rencontré des gens aussi différents qu’un couvreur-zingueur, un luthier, un photographe.
La tragédie du président
On ne se méfie jamais assez des journalistes. Pour n'avoir pas à courir derrière une mémoire qui n'a jamais cessé de me fuir, je prends des notes. C'est ainsi que, depuis plus de quinze ans, j'ai consigné sur des cahiers à spirale la plupart de mes conversations avec Jacques Chirac. Alors que son règne arrive à son couchant, il m'a semblé qu'il était temps de vider mes carnets. Je ne les avais pas écrits pour qu'ils restent à rancir au fond d'un tiroir mais parce que le métier qui mène mes pas consiste à faire la lumière sur tout. Telle est sa grandeur et sa misère. Si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes. Ceci n'est donc pas une biographie au sens propre mais plutôt l'histoire d'une tragédie personnelle, devenue, sur la fin, une tragédie nationale.