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Derib, Job
Yakari – Yakari au pays des loups (tome 8)
Loup Tourmenté, un guerrier de la tribu de Yakari, est en proie à une idée fixe : se venger du loup qui l’a attaqué et blessé trois hivers auparavant. Ce loup boite. Yakari a croisé Trois-Pattes. Il a peur, mais un rêve et l’intervention de Grand Aigle, son totem, l’encouragent à partir chez les loups. Il gagnera la confiance du chef de la meute.
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Dictionnaire français-argot
Ce n'est pas par hasard que Lermina et Lévêque, dans le sous-titre de leur Dictionnaire thématique français-argot (paru en 1897), précisent que celui-ci est » à l'usage des gens du monde qui veulent parler correctement la Langue Verte « . C'est que parler argot n'est point chose facile ; cela demande temps et talent. Pour éviter les barbarismes qui blessent l'oreille et dénoncent le novice ès langue verte, les auteurs, après avoir procédé à une rapide présentation des différents argots (javanais, cadogan, largonji, loucherbem), proposent plus de 1 500 entrées pour que l'amateur de langue verte puisse jaspiner comme un mec à la redresse. A titre d'exercice, Lermina et Lévêque donnent, en ouverture à leur dictionnaire, une traduction du célèbre » Récit de Théramène « , extrait de Phèdre de Racine. Ce Dictionnaire français-argot est, avec celui de Bruant qui lui est postérieur de quatre ans, l'un des rares exemples de dictionnaire double. En quelque sorte, pour reprendre Jacques Cellard dans son Anthologie de la littérature argotique des origines à nos jours, » le thème et la version, comme dans La Méthode à Mimile d'Alphonse Boudard] « .
L’adieu aux armes
Frédéric Henry, jeune américain volontaire dans les ambulances sur le front d’Italie, pendant la première Guerre mondiale, est blessé et s’éprend de son infirmière, Catherine Barkley. Avec Catherine, enceinte, il tente de fuir la guerre et de passer en Suisse, où le destin les attend.
« On se battait dans les montagnes, et le soir, nous pouvions apercevoir les éclairs de l’artillerie. Parfois, dans l’obscurité, nous entendions des régiments passer sous nos fenêtres avec des canons traînés par des tracteurs. La nuit, le mouvement était intense.
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A l’entrée de l’hiver une pluie persistante se mit à tomber, et la pluie amena le choléra. Mais on put l’enrayer et, en fin de compte, il n’y eut, dans l’armée que sept mille hommes qui en moururent.
Nous étions chargés d’évacuer les blessés et les malades des postes de secours, de les transporter des montagnes aux gares de triage et de les diriger sur les hôpitaux indiqués sur leurs feuilles de route. Évidemment ma présence importait peu. Les chauffeurs des ambulances britanniques étaient tués parfois. Oh ! je savais que je ne serais pas tué. Pas dans cette guerre. Elle ne m’intéressait pas personnellement et elle me semblait pas plus dangereuse qu’une guerre de cinéma.
La jeune fille à la perle
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Les démons de Barton House
La première fois que j'ai vu Harwood j'étais à Kinshasa. La deuxième fois, j'étais en Sierra Leone en tant que correspondante de guerre. Puis, des années plus tard j'ai croisé son chemin en Irak et, chaque fois, dans son sillage, des corps de femmes violées, lacérées. Des meurtres mis sur le compte de « dommages collatéraux ». Alors j'ai su. Il s'est senti traqué. J'ai été séquestrée pendant trois jours. Puis relâchée. Sans explication… Pour moi, il n'existait qu'un seul refuge possible pour tout oublier : un manoir isolé au cœur de la campagne anglaise. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi bête.