Frédérique Hébrard
La chambre de Goethe
Frédérique Hébrard nous conte, avec beaucoup de charme et de sensibilité, l’histoire d’une petite fille, qui devient une jeune fille tout au long des années de guerre, au gré des déplacements de ses parents qui vont de château en château afin de mettre à l’abri les trésors du Louvre. L’enfant a son monde à elle, un monde de joie. On rit alors beaucoup avec la petite Frédérique. Puis, peu à peu, bien qu’on ne lui dise rien, elle prend conscience de la force du mal qui sévit en dehors du cercle familial et qui menace de le détruire.
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Réseaux d’ombres
Le Colonel Rémy, de son vrai nom Gilbert Renault, est l’un des résistants français les plus connus durant la Seconde Guerre mondiale. Il organise, développe et perfectionne le réseau de renseignements créé par Louis de La Bardonnie, réseau qui devient la Confrérie Notre-Dame, un des plus importants réseaux de la zone occupée. Il est également connu sous différents autres pseudonymes comme « Raymond », « Jean-Luc », « Morin », « Watteau », « Roulier » et « Beauce ».
Sur les bords de la Gartempe
Sur les bords de la Gartempe réunit trois récits de caractère autobiographique. BLANCHE ET LUCIE nous fait tout d’abord découvrir la petite Léone dans le monde savoureux de la campagne et d’une petite ville française. On retrouve Léone à quinze ans dans LES CAHIERS VOLES. Elle est jolie, vive, insolante et brave ; elle aime passionnément Mélie qui a son âge. LES ENFANTS DE BLANCHE clôt ce cycle par l’évocation d’une famille nombreuse dans une petite ville de province.
Témoin parmi les hommes – Tome III – L’heure des châtiments
Troisième tome des reportages de Joseph Kessel, L'Heure des châtiments, 1938-1945, livre un témoignage exceptionnel des événements tragiques qui secouèrent l'Europe. Engagé dans la résistance, écrivant dans la clandestinité, exilé à Londres, c'est une tout autre dimension du reporter que nous présente Joseph Kessel. De sa description d'une France abattue, incapable de tenir tête aux Panzers qui l'écrasent inéluctablement, aux comptes rendus des procès qui conclurent ces sombres années de non-droit, on assiste à l'effondrement d'un monde meurtri puis aux prémices de sa reconstruction.
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François Perier a eu très tôt la vocation. Enfant déjà, ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était inventer des histoires, embellir la réa-lité par le jeu de l’imagination… ce que les grandes personnes appellent mentir. De cette passion, il a fait son métier: il est devenu menteur professionnel, autrement dit comédien. Cinquante ans et dix mille représentations plus tard, le plaisir de jouer demeure intact. Celui qui fut l’ami de Louis Jouvet, de Jean-Paul Sartre et de Simone Signoret, fait ici une bouleversante déclaration d’amour au théâtre. Un théâtre auquel François Perier s’est donné entièrement. A tel point qu’il se demande parfois si sa vie n’est point une illusion. Une illusion qui aurait pour cadre les plus belles scènes de théâtre, celles où vibrent à jamais les grands textes dramatiques…