Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln
Le message
Si la preuve d’une descendance de Jésus était faite, quelles seraient les conséquences pour les religions, le monde, l’Europe en particulier. Après avoir levé le voile sur un secret jalousement gardé depuis deux mille ans – mais connu de plusieurs communautés et de hauts dirigeants religieux et politiques -, les auteurs vont encore plus loin. S’appuyant sur les plus récentes études bibliques et sur de nombreux documents inédits, ils apportent de nouvelles lumières sur l’évolution du christianisme, la survie de la descendance de Jésus, l’action souterraine du Prieuré de Sion et ses liens avec l’ordre de Malte, le Vatican, la CIA, les franc-maçons. Une passionnante enquête à travers les siècles, qui lie l’histoire de la France et de l’Europe au destin du monde.
Vous aimerez aussi
Crescendo pour un péché
Les habitants de la petite ville de Deer Lake sont sous le choc. Un enfant a été enlevé et son ravisseur appréhendé: Garrett Wright, éminent professeur de psychologie, estimé de tous, animateur bénévole d’un projet pour délinquants. Le substitut du procureur, Ellen North, se jette à corps perdu dans cette affaire, sûre de la culpabilité de Wright. Tout l’accuse. Pourtant, lorsqu’un autre enfant disparaît, elle doute. Difficile d’incriminer le psychologue alors qu’il est en prison ! Ellen s’acharne malgré les menaces de mort, le harcèlement des médias, malgré Jay Butler Brooks, écrivain énigmatique qui la poursuit pour lui soutirer des informations. Quel jeu joue ce beau ténébreux ? Est-il un allié ou un ennemi ? Elle l’ignore. Le destin décidera, mais il sera peut-être trop tard…
Une vie volée
« Le suicide est une forme de meurtre – de meurtre prémédité. Ce n’est pas quelque chose qu’on fait dès la première fois qu’on y pense. Il faut d’abord s’y habituer. Et il faut en avoir les moyens, l’occasion et la motivation. Un suicide réussi exige une bonne organisation et du sang-froid » 1967, Susanna Kaysen a dix-huit ans. Elle a du vague à l’âme, elle est mal dans sa peau – comme beaucoup d’adolescentes, en somme. Mais de là à se retrouver internée comme malade mentale ! C’est pourtant ce qui va lui arriver… Tout commence par une visite chez un médecin qu’elle consulte pour un banal furoncle, la suite est un engrenage effrayant, dont elle ne sortira qu’un an et demi plus tard. Sans un mot de trop, sans fioritures, l’auteur nous décrit la vie quotidienne dans un hôpital psychiatrique réputé pour ses méthodes « modernes » et ses pensionnaires célèbres.
Danse avec les loups
Fort Sedgewick. Un avant-poste au fin fond de l'Ouest sauvage. Trois ou quatre baraques délabrées, une poignée d'hommes épuisés. C'est là qu'est affecté le lieutenant Dunbar. II rêvait de grands espaces, de batailles glorieuses. A son arrivée, une surprise l'attend le fort est abandonné, il se retrouve seul. Seul… jusqu'au jour où il découvre une femme blessée qu'il ramène chez les Comanches. Au fil des jours, il gagne leur amitié, apprend leur langue… et tombe amoureux de cette étrange squaw aux yeux couleur de feu, cette Blanche que les Indiens ont enlevée quand elle était enfant. Comme elle, il deviendra un Comanche. Désormais, le lieutenant Dunbar n'existe plus. Il est celui qui « danse avec les loups ». Mais la guerre n'est pas finie. Pour l'armée des Etats-Unis d'Amérique, John Dunbar est un déserteur…
L’échelle de soie
« J’ai abordé sans méfiance, l’autre soir, la lecture de votre récit dans une revue… Mais presque aussitôt, le texte m’a fait signe, une phrase m’a alerté. Nous nous étions connus, Anne et moi, à R… ville du Nord que balayait, au cœur de l’été, une bise sibérienne ». Bouleversé, l’auteur de L’échelle de soie, court roman où sous le masque de la fiction il se délivrait d’un amour déçu, comprend que cette lettre étrange lui apporte enfin la vérité qu’il a jadis tant souhaité connaître. Anne, Gérard et un autre jeune garçon avaient cru pouvoir impunément s’amuser au jeu de l’amitié et de l’amour au milieu du paysage enchanteur de la côte napolitaine où « l’on respirait le parfum de mélancolie, de tendresse et de cruauté à travers lequel vous atteint parfois la secrète poésie du monde ». Mais la poésie du monde fait place aujourd’hui à la réalité brutale et douloureuse où le drame reste omniprésent.