Caroline Juler
Les orientalistes de l’école italienne
Plus de cent cinquante artistes de l’École orientaliste italienne sont illustrés en monographies complétées par leurs expositions et par un index bibliographique individuel. Leurs œuvres, qui sont plus particulièrement des aquarelles, démontrent la féconde imagination de ces peintres, dont certains ont voyagé en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, mais qui pour la plupart n’ont travaillé qu’en « chambre ». Ce livre a pour objet d’éclairer le grand public, comme les collectionneurs, sur les différents aspects de cet art italien qui trouve ses sources à la Renaissance.
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Lettres de mon moulin
Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses « Lettres de mon moulin ». La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums. Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d’œuvre de malice, de poésie et d'émotion.
Cabale
Que faisait le prince Ludovico Ruspanti au Vatican avant de plonger du haut de la coupole de la basilique Saint-Pierre de Rome ? Sous la protection de qui avait-il trouvé refuge alors même qu’il était recherché pour répondre ce diverses indélicatesses financières auxquelles la banque du Saint-Siège se trouvait mêlée ? S’est-il suicidé ou l’a-t-on poussé ? Le risque de scandale et les multiples interrogations soulevées par cette mort obligent – fait exceptionnel – les autorités vaticanes à collaborer avec la police criminelle italienne.Le détective Aurelio Zen verra le mystère s’épaissir au fur et à mesure de son enquête et les témoins disparaître les uns après les autres, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il n’a aucune chance de faire la lumière sur cette affaire s’il ne réussit pas à pénétrer la plus hermétique de toutes les sociétés secrètes de la Ville éternelle : la Cabale.
J’allais vous dire… Journal apocryphe d’un président
« On n'a pas été avare de commentaires sur ce J'allais vous dire… qui reparaît aujourd'hui. On s'est beaucoup interrogé sur l'identité de l'auteur avant qu'elle ne fût connue. On s'est souvent demandé si l'ouvrage était favorable au président de la République ou si, au contraire, il était un réquisitoire accablant contre lui. On a généralement négligé le reste, qui est l'essentiel à mes yeux. Et le reste, tout le reste, est littérature. […] Au fil des jours qui font date entre le 10 mai 1981 et le 28 mars 1993 […], j'ai pensé qu'avec cette matière, en suivant sa manière, on aurait les éléments rassemblés d'un portrait psychologique qui jetterait sur les événements une lumière vraie. On aura aussi quelquefois le sentiment de la justification. La cause en est dans le genre que j'ai choisi, non dans mes intentions. Chacun en jugera. »
L’enfant en héritage
Désemparée et sans ressources, Cecil, une jeune étudiante texane répond à une petite annonce offrant une très importante somme d'argent pour un travail non précisé. Sélectionnée grâce à sa beauté, l'avocat chargé de gérer le dossier lui propose un contrat de « mère porteur » au profit d'une des plus riches dynasties d'Europe : les Schomberg… Si ce bébé est follement désiré par ses futurs parents, il n'en va pas de même pour le reste de la famille : intrigues, menaces, tentatives de meurtre… Cecil, dans une course folle à travers la France, sent peu à peu les mailles du filet se resserrer autour d'elle, jusqu'au jour où le père et la mère réels trouvent la mort dans un accident de leur jet privé au-dessus du Massif Central. La voilà donc, elle, la mère porteuse, avec un héritier que personne ne désire et que tous ont intérêt à faire disparaître…