Caroline Juler
Les orientalistes de l’école italienne
Plus de cent cinquante artistes de l’École orientaliste italienne sont illustrés en monographies complétées par leurs expositions et par un index bibliographique individuel. Leurs œuvres, qui sont plus particulièrement des aquarelles, démontrent la féconde imagination de ces peintres, dont certains ont voyagé en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, mais qui pour la plupart n’ont travaillé qu’en « chambre ». Ce livre a pour objet d’éclairer le grand public, comme les collectionneurs, sur les différents aspects de cet art italien qui trouve ses sources à la Renaissance.
Vous aimerez aussi
The cereal murders
Thanks to her recent adventures in Dying for Chocolate, Goldy Bear, the premier caterer of Aspen Meadow, Colorado, is no stranger to violence — or sudden death. But when she agrees to cater the first College Advisory Dinner for Seniors and Parents at the exclusive Elk Park Preparatory School, the last thing she expects to find at the end of the evening is the battered body of the school valedictorian. Who could have killed Keith Andrews, and why? Goldy’s hungry for some answers — and not just because she found the corpse. Her young son, Arch, a student at Elk Park Prep, has become a target for some not-so-funny pranks, while her eighteen-year-old live-in helper, Julian, has become a prime suspect in the Andrews boy’s murder. As her investigation intensifies, Goldy’s anxiety level rises faster than homemade donuts. . .as she turns up evidence that suggests that Keith knew more than enough to blow the lid off some very unscholarly secrets. And then, as her search rattles one skeleton too many, Goldy learns a crucial fact: a little knowledge about a killer can be a deadly thing.
J’allais vous dire… Journal apocryphe d’un président
« On n'a pas été avare de commentaires sur ce J'allais vous dire… qui reparaît aujourd'hui. On s'est beaucoup interrogé sur l'identité de l'auteur avant qu'elle ne fût connue. On s'est souvent demandé si l'ouvrage était favorable au président de la République ou si, au contraire, il était un réquisitoire accablant contre lui. On a généralement négligé le reste, qui est l'essentiel à mes yeux. Et le reste, tout le reste, est littérature. […] Au fil des jours qui font date entre le 10 mai 1981 et le 28 mars 1993 […], j'ai pensé qu'avec cette matière, en suivant sa manière, on aurait les éléments rassemblés d'un portrait psychologique qui jetterait sur les événements une lumière vraie. On aura aussi quelquefois le sentiment de la justification. La cause en est dans le genre que j'ai choisi, non dans mes intentions. Chacun en jugera. »
Lettres de mon moulin
Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses « Lettres de mon moulin ». La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums. Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d’œuvre de malice, de poésie et d'émotion.
Enquête sur les ripoux de la côte
Derrière sa riante façade méditerranéenne, la paisible Provence, dont la culture, l’histoire, la population ne devraient inspirer que sympathie, dessine une sorte de triangle des Bermudes qui aspire les embrouilles dans un siphon maléfique où la corruption impose sa loi. Sommets du triangle maudit, trois pôles urbains paraissent rivaliser dans la course à l’enrichissement de multiples prévaricateurs: à l’ouest, Marseille, métropole enclavée, prisonnière de ses mythes, de sa mauvaise réputation; au sud, Toulon, avec sa ville basse dénommée le « petit Chicago », claquemurée entre rade et collines brûlées; à l’est, Nice la belle, ses vitrines et sa gestion latine à l’ancienne, dispensatrice de menus privilèges: son ex-maire héréditaire, Jacques Médecin, arrêté dans son asile urugayen, affronte en 1994 l’humiliation d’une extradition pour détournement de fonds publics.