Caroline Juler
Les orientalistes de l’école italienne
Plus de cent cinquante artistes de l’École orientaliste italienne sont illustrés en monographies complétées par leurs expositions et par un index bibliographique individuel. Leurs œuvres, qui sont plus particulièrement des aquarelles, démontrent la féconde imagination de ces peintres, dont certains ont voyagé en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, mais qui pour la plupart n’ont travaillé qu’en « chambre ». Ce livre a pour objet d’éclairer le grand public, comme les collectionneurs, sur les différents aspects de cet art italien qui trouve ses sources à la Renaissance.
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Alice, une adolescente de 12 ans, se présente au commissariat d'Amsterdam, une vidéo à la main, et demande à parler d'urgence à l'inspectrice Anita Van Dyke. Elle lui apprend que sa mère est une meurtrière comme le prouve la cassette. En la visionnant, l'inspectrice découvre « le premier assassinat filmé de sa carrière. » L'enquête commence mais Alice, pourtant sous la protection de la police, s'échappe et se cache dans la voiture d'Hugo qui fait partie d'un réseau clandestin international en lutte contre les totalitarismes. L'enfant veut se rendre au Portugal pour retrouver son père et Hugo accepte de l'aider. Ensemble ils vont traverser l'Europe, pris en chasse par les tueurs de la mère d'Alice, qui dirige un trafic clandestin de « snuff movies. »
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Tome 2 – Aux trois gentilshommes mousquetaires Athos, Porthos et Aramis, toujours prêts à en découdre avec les gardes du Cardinal de Richelieu, s’associe le jeune gascon d’Artagnan fraîchement débarqué de sa province avec pour ambition de servir le roi Louis XIII.
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