Bama
Sangati
» Une lutte racontée au travers d’anecdotes formidablement mises en scène et toutes plus truculentes les unes que les autres. Et c’est avec un bonheur inégalé qu’on les voit faire vaciller l’ordre social de l’Inde profonde. Avec une écriture moderne et crue, Bama parle de la difficulté d’exister dans un pays régi par le système des castes et raconte le douloureux quotidien des femmes dans un pays où leur vie ne vaut pas grand-chose. » Des mots qui révèlent le courage et l’obstination de leur auteur.
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Les dieux ont soif
Histoire de l’ascension infernale d’Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, engagé dans la section de son quartier du Pont-Neuf, Les dieux ont soif décrit les années noires de la Terreur à Paris, entre les ans II et III. Farouchement jacobin, fidèle entre les fidèles de Marat et Robespierre, Évariste Gamelin finira par être nommé juré au tribunal révolutionnaire. La longue et implacable succession des procès quotidiens de plus en plus expéditifs (à partir de la loi de prairial en particulier) entraîne cet idéaliste dans une folie qui le coupera de ses proches et précipitera sa propre chute à la suite de son idole Robespierre, au lendemain du 9 Thermidor.
Le Lys rouge
Le Lys rouge raconte la liaison d’une femme du monde, mariée à un homme politique, avec un artiste. Un voyage à Florence (que symbolise le titre) couronne cette union charnelle et mystique. Bientôt, la jalousie s’insinue dans le cœur de l’amant, qui met fin à la liaison. Ce roman, unique en son genre dans l’œuvre, maintenant réhabilitée et revenue à la mode, d’Anatole France, est partiellement autobiographique, parce qu’il est fondé sur la liaison, d’abord passionnée, de l’auteur avec Mme de Caillavet.
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Ce roman, le premier de Guy de Maupassant, est une peinture remarquable des moeurs provinciales de la Normandie du XIXe siècle: hobereaux, domestiques, paysans sont décrits avec beaucoup de réalisme.