- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Une mort joyeuse
Ellis Peters
Une mort joyeuse
Avant de mettre sur orbite le célébrissime frère Cadfel avec le phénomène succès que l’on sait, Ellis Peters avait déjà conquis ses galons de reine du crime à l’anglaise avec la saga familiale consacrée à l’inspecteur George Felse et son fils Dominic. C’est cette série Very British que Grands Détectives vous invite à découvrir à travers une première enquête placée sous le signe de l’humour et qui obtint à sa parution le prix Edgar Poe du meilleur roman policier de l’année.
Vous aimerez aussi
Tous nos soleils sont morts
Les promoteurs immobiliers ne sont pas forcément les bienvenus en Bretagne, surtout quand on les soupçonne de malhonnêteté. C’est le message que veut faire passer Hadès, une organisation autonomiste, au riche promoteur Jacques Sabatier. Mais une nuit d’hiver, à Vannes, l’opération d’intimidation tourne mal. Gilou, un des membres d’Hadès, meurt pendant la pose d’une bombe sur un des chantiers de Sabatier. Un accident ? Pas si sûr… avant l’explosion, des témoins ont entendu un coup de feu. La cellule antiterroriste de Rennes va se heurter à une affaire bien plus compliquée qu’il n’y paraît. Tout le monde va enquêter sur tout le monde dans cette histoire ou chacun semble avoir quelque chose à reprocher à l’autre, y compris au sein d’une même famille, y compris au sein d’une même organisation…
Combustion
Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… Avec ce dixième roman, vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis, Patricia Cornwell offre à ses innombrables « fans » un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que PostMortem ou Une mort sans nom. Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
Le condamné meurt à cinq heure
Défenseur des causes difficiles, certes, mais justes. Toujours justes. Quand maître Lejanvier sauve une tête, c’est une tête d’innocent. Maître Lejanvier a des principes. Et une réputation sans tache. Jamais il ne plaiderait pour un client qu’il jugerait coupable. C’est donc en toute bonne foi qu’il a mis son éloquence, son énergie, son prestige au service de Lazare. Et c’est en toute bonne foi qu’il a fait acquitter un meurtrier. Un meurtrier qui soudain menace de céder à un accès de remords et d’aller confesser son crime. A moins que maître Lejanvier ne consente à quelque petit sacrifice financier… Quelle ingratitude !