Brice Erbland
Dans les griffes du Tigre – Libye-Afghanistan 2011
Vendu sans bandeau – Pour la première fois, un officier français ayant combattu en Libye et en Afghanistan livre son témoignage sur ces deux conflits. Le capitaine Brice Erbland, chef de mission et pilote d’hélicoptère de combat Tigre, machine ultra sophistiquée à la puissance de feu dévastatrice, dévoile dans ce livre son journal de guerre. Dans les griffes du Tigre nous emmène das montagnes d’Afghanistan aux missions de destruction des forces kadhafistes sur le littoral libyen.
Vous aimerez aussi
Le Temple de Jérusalem
Tom Sagan est un ancien journaliste d'investigation de tout premier plan, dont la carrière a été brisée par un scandale. Il vit aujourd'hui dans la maison de ses parents, en Floride. Un jour, un homme fait irruption chez lui, arme au poing, et lui montre une photo de sa fille séquestrée. Elle lui sera rendue saine et sauve uniquement si Tom accepte d'obéir à une requête pour le moins étrange : faire exhumer la dépouille de son père, Abiram. C'est le début pour Tom d'une course contre la montre qui va bientôt le mettre sur la piste des secrets de Christophe Colomb et du Temple de Jérusalem. De Vienne à la Jamaïque, en traversant Prague et la Floride, Steve Berry nous emmène aux quatre coins du monde sur les traces d'énigmes passionnantes, du destin des douze tribus d'Israël à la personnalité secrète de Christophe Colomb en passant par les mystères du Temple de Jérusalem.
Wunderkind
Sofia, Bulgarie. Dans deux ans, le mur de Berlin s’effondrera, et le rideau de fer avec lui. Mais pour l’instant, c’est sous l’oppression du régime communiste que Konstantin, quinze ans, prodige du piano, tente de respirer. Intelligent et orgueilleux, sensible et cruel, Konstantin ajoute à la somme des paradoxes de l’adolescence les déchirements de l’artiste surdoué, balançant entre le désir brûlant d’être le meilleur et l’irrésistible tentation de l’échec et du danger. Ce livre résonne, souffle, chante, fracasse, virevolte et court, ralentit, s’emporte, c’est un concert, une rhapsodie. Dont on guette les variations comme autant de rebondissements. À travers cette écriture survoltée et ardente, Nikolai Grozni porte un regard vibrant sur cette période sombre, ce laminage. Et donne la mesure d’un talent époustouflant, véritablement virtuose.
Tatouée
Les secrets ne s’effacent jamais… Dix-sept ans. C’est le temps qu’il a fallu pour qu’on découvre le corps de Heather Rigby, dissimulé dans une tourbière près d’Halifax. Dix-sept longues années pendant lesquelles le corps, miraculeusement préservé par les eaux marécageuses, a patiemment attendu d’être ramené à l’air libre — si bien préservé qu’on peut encore voir un tatouage sur la peau de la jeune femme. Dix-sept ans. C’est aussi, pour l’avocate Kate Lange, le temps qu’il a fallu pour voir resurgir un passé sombre et violent qu’elle a tout fait pour mettre à distance. Se pourrait-il que ce meurtre commis bien des années plus tôt ait quelque chose à voir avec Kenzie Sloane, celle que Kate tient en partie responsable de la mort de sa sœur, et qui porte le même tatouage que la victime ? Et pourquoi a-t-elle le pressentiment que le tueur, dans l’ombre, l’observe et la menace ? Un tueur obsessionnel, habité par la folie meurtrière de la vengeance, et qui a tracé sa sombre promesse à la même la peau de sa victime…
The black country
En Anglais – When members of a prominent family disappear from a coal-mining village—and a human eyeball is discovered in a bird’s nest—the local constable sends for help from Scotland Yard’s new Murder Squad. Fresh off the grisly 1889 murders of The Yard, Inspector Walter Day and Sergeant Nevil Hammersmith respond, but they have no idea what they’re about to get into. The villagers have intense, intertwined histories. Everybody bears a secret. Superstitions abound. And the village itself is slowly sinking into the mines beneath it. Not even the arrival of forensics pioneer Dr. Bernard Kingsley seems to help. In fact, the more the three of them investigate, the more they realize they may never be allowed to leave . . . .