Alexandre Dumas
Le Compte de Monte-Cristo (Tome 2) – Chapitres 56 à 117
« Combien d’Edmond Dantès ont subi, subiront ou subissent une répression injuste et arbitraire en raison d’une dénonciation anonyme et mensongère ? »
Vanessa Codaccioni
Avec ce second volume, Edmond Dantès poursuit et accomplit son entreprise vengeresse. Une tonalité, plus sombre et tourmentée, affleure et tous les moyens pour se faire justice sont mis à exécution. Alexandre Dumas ausculte ainsi la justice privée, ses motivations, ses effets autant que ses zones d’ombre.
Prenant l’auteur au mot, la politiste Vanessa Codaccioni examine toute la gamme de l’auto-justice qui s’y dépeint, de la légitime défense à la mise en œuvre contemporaine d’une société de vigilance. Le Comte de Monte-Cristo apparaît dès lors comme un observatoire implacable des usages politiques de la peur.
Quand son mariage et sa petite entreprise font naufrage, Polly quitte Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d’une île des Cornouailles.
Quoi de mieux qu’un village de quelques âmes battu par les vents pour réfléchir et repartir à zéro ?
Seule dans une boutique laissée à l’abandon, Polly se consacre à son plaisir favori : préparer du pain. Petit à petit, de rencontres farfelues – avec un bébé macareux blessé, un apiculteur dilettante, des marins gourmands – en petits bonheurs partagés, ce qui n’était qu’un break semble annoncer le début d’une nouvelle vie…