- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- 22 – Ne jouez pas avec la mort
Pierre Tombal
22 – Ne jouez pas avec la mort
En 1986, quand Hardy et Cauvin lancent une nouvelle série humoristique, ils ne choisissent pas la facilité. Le pari qu’ils font avec « Pierre Tombal » est particulièrement ambitieux : arriver à faire rire avec un sujet aussi tabou que la mort. Cela fait donc près de vingt ans que Pierre Tombal exerce la profession de fossoyeur dans un cimetière où les squelettes ont des préoccupations très… terre-à-terre. Et où les rares visiteurs sont très dérangés par la présence de la Grande Faucheuse, qui ne rate jamais une occasion de leur rappeler que leur fin est inéluctable.
Vous aimerez aussi
Claude Gueux
Claude Gueux est un court roman de Victor Hugo paru en 1834 et dénonçant les conditions de détention au 19ème siècle, la disproportion des délits et des peines à cette même époque, ainsi que la peine de mort. L'histoire est en partie fondée sur des faits de sa connaissance. Relation allégorique d'un drame individuel, cet ardent plaidoyer contre la peine de mort et contre la prison met à nu le mécanisme de la brutalité sociale qui ne sait répondre à la détresse que par la répression. Avec Claude Gueux, Victor Hugo n' est plus simplement romancier ou poète, il conquiert une place éminente auprès des plus grands orateurs de la Liberté.
L’Arnaque – Quand l’Amérique rackette la France
En décembre 2003, au terme d'un accord transactionnel, la France accepte de payer la somme astronomique de 771,5 millions de dollars aux Etats-Unis. Mais les contribuables français n'ont pas fini de régler la note d'une des aventures financières les plus osées du Crédit Lyonnais, qui avait repris au début des années 90 une compagnie d'assurances californienne en faillite : Executive Life. Un crime économique aux yeux de la justice américaine qui réclamait plusieurs milliards de dollars à la veille du procès civil. Une tentative d'extorsion de fonds aux yeux des Français qui ont dû accepter, sur les marches du tribunal de Los Angeles, en février 2005, de payer des centaines de millions de dollars de plus. Le nouveau livre d'Airy Routier révèle la face cachée de cette incroyable affaire, essentiellement décrite jusqu'ici sous son aspect franco-français.
Vitriol Menthe
Ce livre est le roman vécu d'une icône. Une femme rare. Célèbre et inconnue. Ange et démon. Louve et agneau. Entre l'amour et la mort. Les larmes et les rires. Elle est mon amie, ma soeur d'âme. Elle a bien voulu me confier une partie de ses secrets. Certains étaient aussi les miens puisque nos chemins se sont croisés, superposés, fondus. Fille de campagne, militante féministe, actrice des tout premiers films X, elle fut surtout patronne dans les vingt dernières années de clubs libertins mythiques – le 106 puis le 41 -, où se mélangeaient anonymes et célébrités. Je vous propose de suivre avec elle, au-delà de son chemin personnel, l'évolution des moeurs sexuelles avouées ou cachées de la France buissonnière. Tout ce qui est raconté ici est vrai, étonnamment vrai. C'est aussi l'électrocardiogramme d'une époque étrange. C'est surtout l'histoire d'une trajectoire étonnante et violente. Il y a dans tous les recoins de la débauche d'immenses pudeurs, d'incommensurables trésors d'amour pur et des profondeurs d'âme insondables. Elle s'appelle Denise. C'est son vrai nom.
Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.