Roba
60 gags de Boule et Bill (6)
Retrouvez la vie quotidienne de nos héros à travers différents moments de leur vie. En hiver, Boule construit un igloo et tente de faire de Bill un chien de traineau. Plus tard, il reçoit une tortue qu’il décide de nommer Caroline. Bill voit d’un mauvais œil l’arrivée de ce nouvel animal jusqu’à ce qu’il apprenne que la tortue ne mange que de la salade. Une vrai complicité nait alors entre les deux animaux
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Qui donc à Paris égorge les vieilles dames de Belleville et transforme les papys en junkies ? Tous les soupçons convergent vers Benjamin Malaussène, bouc émissaire de son état, dont la sympathique famille s’est enrichie de quelques membres. Les héros du précédent épisode, « Au bonheur des ogres, » sont là, avec quelques nouveaux venus: le doux inspecteur Pastor, la petite Verdun, l’inquiétant commissaire Coudrier, etc. Plus on est de fous… » On retrouve avec bonheur la petite tribu de papier, dont Daniel Pennac développe à plaisir les personnages. Les intrigues et les destins se croisent au fil d’un récit dont la trame policière offre prétexte à s’attarder sur l’atmosphère du quartier, à épingler les méchants, les sans scrupules, les pas humains, toujours sur le mode de l’humour léger.
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Pourquoi L’Année la plus c…? Et pourquoi pas ? Il y a déjà eu, en 1967, Le Jour le plus c.. de Pierre Dac. Après presque un demi-siècle, il est grand temps de ne pas laisser cette anthologie solitaire. Mais trouver environ 364 jours, tous plus c… les uns que les autres, n’est pas si facile. Si Pierre Dac, du haut de là, n’a pu écrire la préface, ô miracle !, dans les premiers pas bien trempés de Normal Ier, la réalité s’est mise à dépasser la fiction. Le gibier s’est avéré abondant, peu farouche et même très bavard. Pour le distinguer, il suffit de suivre la maxime des Tontons Flingueurs : « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Dans un style magistralement couacophonique, ce livre en c… majeure et sans bémol, ni dur d’ailleurs, retrace la période féconde entre le printemps 2012 et le début 2014.
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Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
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Stéphane De Groodt est un adepte du jeu de mots et du calembour, s’inscrivant dans la ligne de Raymond Devos. Dans ses chroniques sur RTL (« A la bonne heure »), il présente un courrier imaginaire des auditeurs, sur un ton burlesques et décalé. Par exemple : « Je m’appelle Martine. J’ai 82 ans et deux caniches, en plus d’avoir Alzheimer et deux caniches. Mais j’ai encore une excellente mémoire pour une femme de 2 ans qui doit s’occuper de 82 caniches. ». Sur Canal + (« Le Supplément »), il narre sa rencontre fictive avec une célébrité (Nicolas Sarkozy, Michel Denisot, Kim Jong-un.), sur un mode surréaliste. Stéphane De Groodt est un acteur et humoriste belge. Il a notamment joué dans la série « Mes amis, mes amours, mes emmerdes » sur TF1 et a repris au théâtre à Bruxelles le rôle de Patrick Bruel dans « Le Prénom ». Il a présenté une chronique dans « La Matinale » de Canal + puis dans « A la bonne heure » sur RTL et dans « Le Supplément » sur Canal +.