- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- A Solenn
Véronique Poivre D'arvor
A Solenn
Remontées d’innocence, d’espoirs, de souffrance… Véronique a eu, à son tour, besoin de l’écriture pour se souvenir d’une enfant, puis d’une jeune fille que nous avons tant aimée et qui nous manque tellement. Patrick. Il y a dix ans, Solenn Poivre d’Arvor mettait fin à ses jours, à l’âge de 19 ans. Sa mère, Véronique, a voulu lui rendre hommage, exprimer la douleur de toute une famille, mais également dire sa solidarité avec tous les parents et adolescents concernés par le drame de l’anorexie
Vous aimerez aussi
Le dernier homme innocent
On le surnomme » L’impassible « . Jusqu’à présent, David Nash n’a connu que la gloire et le succès au cours de procès retentissants. Il a fait acquitter tous ses clients, pour la plupart coupables. Avec Larry Stattford, tout est différent. Il s’agit d’une conviction intime. L’occasion, enfin, de plaider pour la bonne cause, de défendre un homme innocent ; autant dire, pour un avocat comme lui, un procès gagné d’avance. Mais Nash ne sait pas que la chance tourne parfois. Que ses meilleurs clients sont ses pires ennemis. Et que le prix de chaque victoire ne se paie pas toujours comptant.
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
La petite Roque
C'est Médéric, le facteur, qui avait découvert le corps de la petite Roque sous la futaie du maire, au bord de la Brindille. Mais on eut beau chercher, on ne trouva pas le coupable. A quelque temps de là, le maire donna l'ordre d'abattre ses arbres et, surveillant les travaux, faillit périr écrasé sous le hêtre géant qui avait ombragé le crime, Imprudence? Non; geste d'un malheureux qui tente d'échapper à un spectre sans compromettre son honneur. Mais la fatalité s'acharne contre lui. Drame encore de la terre normande que l'histoire du Père Amable ou le procès de Rosalie Prudent ; drame parisien de l'Ermite ; tout petit drame d'un amour qui aurait Pu être à bord de l'Epave ; méditation sereine Sur les Chats ; conquête de Madame Parisse ; nostalgique fin de l'actrice Julie Romain, ou subtil et tendre récit de Mademoiselle Perle – neuf nouvelles où s'affirme le talent d'un maître conteur.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.