- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- A Solenn
Véronique Poivre D'arvor
A Solenn
Remontées d’innocence, d’espoirs, de souffrance… Véronique a eu, à son tour, besoin de l’écriture pour se souvenir d’une enfant, puis d’une jeune fille que nous avons tant aimée et qui nous manque tellement. Patrick. Il y a dix ans, Solenn Poivre d’Arvor mettait fin à ses jours, à l’âge de 19 ans. Sa mère, Véronique, a voulu lui rendre hommage, exprimer la douleur de toute une famille, mais également dire sa solidarité avec tous les parents et adolescents concernés par le drame de l’anorexie
Vous aimerez aussi
Même la vue la plus perçante
Au cours d’une nuit pluvieuse, Mundo Morales, shérif-adjoint d’une petite ville de Californie, pense être victime d’une hallucination en voyant le corps d’Attis McCurtain, son meilleur ami, flotter à la Surface de la rivière Salinas. Ce dernier, de retour du Vietnam où ils ont combattu ensemble, n’est-il pas interné pour démence ?
Pour Morales l’enquête ne fait que commencer tandis qu’à des kilomètres de là, au cœur des marécages du Mississipi, un vieil Indien, grand-oncle d’Attis, a pressenti le drame. C’est auprès de celui-ci que Cole McCurtain, le frère cadet d’Attis voulant fuir l’incorporation, est parti trouver refuge. Il ignore encore que le vieil homme l’attend afin de lui confier une bien étrange mission…
Mundo Morales et Cole McCurtain, tous deux guidés par leurs traditions – mexicaine et indienne – Vont vivre une aventure qui changera le cours de leur existence.
A travers ce roman lyrique où la nature et la spiritualité jouent un rôle majeur, Louis Owens, Choctaw et Cherokee, professeur de littérature à l’université du Nouveau-Mexique, s’affirme comme l’une des nouvelles voix de la littérature indienne contemporaine.
Le dernier homme innocent
On le surnomme » L’impassible « . Jusqu’à présent, David Nash n’a connu que la gloire et le succès au cours de procès retentissants. Il a fait acquitter tous ses clients, pour la plupart coupables. Avec Larry Stattford, tout est différent. Il s’agit d’une conviction intime. L’occasion, enfin, de plaider pour la bonne cause, de défendre un homme innocent ; autant dire, pour un avocat comme lui, un procès gagné d’avance. Mais Nash ne sait pas que la chance tourne parfois. Que ses meilleurs clients sont ses pires ennemis. Et que le prix de chaque victoire ne se paie pas toujours comptant.
En plein jour
1947. Quentin et Elizabeth roulent vers Key Largo. Face à un véhicule lancé à toute bombe, leur voiture fait une embardée et plonge dans l'eau noire du lac Surprise. Seul survivant : Thom, leur fils nouveau-né. 1966. Thom surprend un homme à son domicile, l'oblige à monter dans la Buick garée devant la porte… et lui offre un vol plané au-dessus du lac. Dallas James, ancien chauffard, a enfin payé son crime. Mais vingt ans plus tard, c'est la mère adoptive de Thorn qu'on assassine sauvagement, sur son bateau. Thorn pourra-t-il, une fois de plus, jouer les justiciers ? Et dans cette histoire, quel est le rôle de Sarah, son énigmatique maîtresse ? Dans quel camp est-elle ? Ecologie, marijuana, promoteurs et avocats véreux… Combien de secrets, combien de cadavres gisent au fond du lac Surprise ?
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.