- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Au commencement était le crime
Mary Higgins Clark
Au commencement était le crime
Malice domestic : l’expression désigne le crime maison, celui qui intervient entre frères ou conjoints, amants ou maîtresses. Celui qui viole le sanctuaire familial, laissant le cadavre dans la baignoire ou devant la cheminée…Le premier « crime maison » connu, rappelle ici la romancière de La Nuit du renard et de Recherche jeune femme aimant danser, fut le meurtre d’Abel par Caïn. L’histoire d’Oedipe ou celle de Hamlet s’inscrivent également dans cette longue tradition.
Vous aimerez aussi
Et on dévora leur cœur
Poursuivi par les tueurs de Miguel Beaufort, l’homme a qui il a volé une petite fortune, Samuel Johnson se réfugie à Murton Caves. mais le danger qui le guette à cet endroit est bien plus grand que celui auquel il tente d’échapper.
Emmène-moi, emmène-moi
Lara Quade, une jeune femme introvertie et solitaire, veut tout oublier de son enfance malheureuse. Étudiante à Princeton, elle s'est spécialisée dans l'étude des poupées automates. Sa vie va totalement basculer lorsqu'elle rencontre – par hasard ? – un garçon bizarre, qui l'attire et la repousse à la fois… Superbement écrit, ce thriller psychologique est aussi une histoire d'amour et de mort, un roman entêtant et sulfureux où passé et présent se confrontent dans une danse macabre… Lauren Kelly est le pseudonyme d'une célèbre romancière américaine.
Écorchée
Trente ans. C’est le temps qu’il a fallu à Skirving pour dénicher la femme parfaite. Trente ans à observer les parades amoureuses de ses semblables, à les regarder s’accoupler, à mépriser la petitesse de leurs modes de vie. Trente ans avant que sa patience soit enfin récompensée. Seulement, peu de temps après leur rencontre, Shauna, sa petite amie, est victime d’un crime odieux. Et voilà Skirving condamné à reprendre sa quête de l’amour absolu. Le problème, c’est que toutes les femmes qu’il rencontre le déçoivent cruellement, bafouant ainsi la mémoire de la disparue… et obligeant Skirving à les châtier sévèrement. Or, dans le domaine de la cruauté, il n’a jamais manqué d’imagination, et c’est en lettres de sang qu’il écrit son amertume, ses exactions laissant sans voix les inspecteurs lancés à ses trousses.
Le sang des éditeurs
Théophile, jeune homme désorienté, rêve de publier un premier roman. Mais il se heurte à d’innombrables embûches, perd les pédales et décide d'assassiner tous les éditeurs parisiens.
Après son dernier roman plus intime, Mehdi Omaïs nous offre ici une farce macabre et drolatique. A savourer sans modération !

