- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- Conseils d’amie à la clientèle
Anna Sam
Conseils d’amie à la clientèle
Cette fois, Anna Sam passe de l’autre côté. Ce n’est plus son expérience de caissière qu’elle nous raconte, mais son expérience de cliente dans les grandes surfaces. Saura-t-elle déjouer tous les pièges que nous tendent les responsables de rayons ? Parviendra-t-elle à faire son choix entre les 101 variétés de yaourts nature ? Et quand son caddie entrera en collision avec celui d’une honnête ménagère qui ne demandait rien à personne, pourra-t-elle s’en Sortir Sans appeler les pompiers?
Vous aimerez aussi
La plage d’Ostende
« Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbek m’appartiendrait. J’avais onze ans, il en avait vingt-cinq… » Prise ainsi par une passion que rien n’éteindra, Émilienne devra attendre son heure. Talentueux, beau, aimé des femmes, Léopold fait un mariage d’argent pour pouvoir se consacrer à la peinture. La jeune fille va lentement tisser sa toile, ne reculant devant rien, sacrifiant au passage quelques existences. Des années plus tard, après la mort de son amant, Émilienne, désespérée mais sans remords, demeurera certaine que c’était le prix à payer pour vivre sa passion.
Le pacte des vierges
2008, Gloucester, États-Unis. Dix-sept jeunes filles d’un même lycée tombent enceintes en même temps. Stupeur dans la ville. La rumeur publique fait état d’un pacte. Les gamines se seraient concertées pour faire et élever leurs enfants ensemble. Qu’en est-il exactement ? À une journaliste venue enquêter sur l’événement, quatre d’entre elles se racontent. Leurs voix se succèdent pour évoquer le « groupe », leurs relations, le mystère de leur grossesse multiple et ce pacte, qui leur permet d’échapper au quotidien d’une ville portuaire où le chômage et ses conséquences déciment les familles et laissent peu de place à un avenir meilleur. Vanessa Schneider nous raconte avec tendresse et non sans humour une certaine société américaine entre désoeuvrement, rêves et réalité.
Dans le secret des princes
Cet homme, vous ne l’avez pas souvent vu ni entendu. « Ce ne sont pourtant ni la lumière ni la verve qui lui font défaut. Il a longtemps exercé l’une des plus cruciales et des plus mystérieuses charges de l’État : Alexandre de Marenches a dirigé pendant près de onze ans les services secrets français, sous deux présidents, Pompidou et Giscard d’Estaing. Ses interlocuteurs d’aujourd’hui sont les présidents, les rois et les puissants qu’il accepte de conseiller. » Cette femme, tout le monde la connaît : c’est Christine Ockrent. Séduite par ce personnage hors du commun, elle a réussi à le faire parler. Ce livre n’est donc pas plus une enquête qu’un interrogatoire : c’est un dialogue entre une grande professionnelle du journalisme et un grand professionnel du Renseignement.
L’arrangement
Il a fallu que sa voiture se déporte et se jette contre un camion pour qu’Eddy Anderson, meurtri mais indemne, prenne le temps de s’interroger sur sa façon de vivre. Cet accident n’a-t-il pas été, au fond, une tentative de suicide ? Mais quelles raisons aurait-il de se tuer ? Aucune apparemment, puisqu’il est nanti d’une belle situation (dans une agence de publicité), marié à une femme charmante (Florence) et possesseur d’une maison avec piscine et pelouse (dans le quartier chic de Los Angeles). A ce bilan officiel de prospérité s’ajoutent les conquêtes sur lesquelles Florence a le bon goût de fermer les yeux. En somme, un arrangement agréable dont soudain Eddy ne parvient plus à se contenter. Est-ce parce qu’il a dû rompre avec Gwen Hunt qui est si bien son type ou parce que ces masques l’étouffent ? Dans un sursaut d’énergie, il décide de repartir à zéro sans épouse ni fortune ni emploi, mais aussi sans masque et sans contrainte.