- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Gene
Stev Pavlou
Gene
En Anglais – When New York detective James North arrives at a hostage scene in the Metropolitan Museum of Art, he’s disturbed to find the perpetrator is asking for him by name. North has no idea who this man called Gene is, or why his own presence is so important.
Vous aimerez aussi
Un américain en Picardie : Sacrés français !
Jonathan Bradley, cost-killer, est chargé de dégraisser une petite usine de robinetterie victime de la mondialisation. L'affaire est simple, mais il tombe sur un tas d'os : le code du travail, l'Urssaf, la CGT, la grève et ses piquets, le délégué syndical qui dit toujours non, les salariés peu conciliants… Ted Stanger chasse les vaches sacrées sans complexe dans cette satire qui fera rire et réfléchir, notamment sur la place du « modèle français » dans un monde qui bouge.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
L’Arnaque – Quand l’Amérique rackette la France
En décembre 2003, au terme d'un accord transactionnel, la France accepte de payer la somme astronomique de 771,5 millions de dollars aux Etats-Unis. Mais les contribuables français n'ont pas fini de régler la note d'une des aventures financières les plus osées du Crédit Lyonnais, qui avait repris au début des années 90 une compagnie d'assurances californienne en faillite : Executive Life. Un crime économique aux yeux de la justice américaine qui réclamait plusieurs milliards de dollars à la veille du procès civil. Une tentative d'extorsion de fonds aux yeux des Français qui ont dû accepter, sur les marches du tribunal de Los Angeles, en février 2005, de payer des centaines de millions de dollars de plus. Le nouveau livre d'Airy Routier révèle la face cachée de cette incroyable affaire, essentiellement décrite jusqu'ici sous son aspect franco-français.
L’empire de l’Eau
Dans l’Empire de l’eau, Yvan Stefanovitch raconte pourquoi la gauche n’a jamais exigé la nationalisation de ce bien public, sous le Front populaire et à la Libération. Ce livre fourmille d’anecdotes sur les petits et grands arrangements, la palme du double langage revenant au PCF, aussi remonté au plan national qu’accommodant au niveau local. C’est à Paris que la Générale des eaux a historiquement institué son quasi-monopole. En 1910, le débat municipal sur la reconduction de son contrat avait duré trois semaines. Rien à voir avec le débat à la sauvette organisé sous Bertrand Delanoë.