- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Horizon blanc-2- BGC
A.Osi - P.Renard
Horizon blanc-2- BGC
De Saint Val enquête sur ceux qui l’accusent d’être le terroriste Abel baross, tout en fuyant la police et le groupe Alpha. Auprès de son ancien directeur des services spéciaux, le milliardaire apprend que ce groupe Alpha, créé pour lutter contre les poseurs de bombes, serait en fait un de leurs précieux alliés. Son association avec la journaliste Diane Angela axe les recherches de de St Val sur la BGC, la Banque Générale Commerciale, qui pourrait être la prochaine cible des terroristes. Au siège de la BGC, ils y découvrent qu’en réalité la banque est contrôlée par les conjurés. Ils obtiennent aussi des révélations stupéfiantes sur le but réel des attentats.
Vous aimerez aussi
De mémoire de femme
Quand tu auras lu mon journal, tu comprendras tout… promets-moi de faire ce que je te demande. Jure-le… Au chevet de sa mère, victime d’un grave accident, Sofia venait de lui promettre de lire le mystérieux journal intime dont elle n’avait jamais soupçonné l’existence. Le fait que Liz ait demandé à la voir ébranlait le bouclier d’indifférence derrière lequel Sofia se protégeait depuis des années, depuis le jour où Liz avait fini de détruire l’amour douloureux qu’elle continuait à lui vouer en dépit de tout. Mais malgré la rancœur, l’amertume et l’humiliation, Sofia sentait qu’il y avait là un mystère : si sa mère, l’invulnérable, l’indestructible, la sublime Liz, avait élevé à la perfection sa fille rebelle, turbulente et fantasque, elle ne lui avait jamais prodigué la moindre affection. Une barrière mystérieuse, infranchissable, les avait toujours séparées. Alors que signifiait cette requête stupéfiante, et pourquoi Sofia était-elle saisie d’une terreur instinctive à l’idée de fouiller le passé de Liz ?
Opération Seawolf
Les troupes du nouveau Kuo-Min-Tang, soutenues par le Japon, s’approchent inéluctablement de Pékin malgré la résistance de l’Armée populaire de libération. C’est alors que le sous-marin espion Tampa – seule source de renseignements des Américains sur ce pays coupé du monde – est arraisonné dans le golfe de Bohai… Pour l’état-major de l’US Navy, un seul recours : le Seawolf, le sous-marin nucléaire d’attaque le plus moderne du monde. A son bord, le commandant Cimino et les troupes d’élite de la marine. Leur mission : délivrer l’équipage du Tampa et échapper à la marine de guerre chinoise…
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
Fortitude
1944. Les Alliés s’apprêtent à lancer sur les plages normandes la plus formidable opération militaire de tous les temps. Pour le succès du jour J, il faut impérativement convaincre Hitler et l’état major allemand que le débarquement de Normandie n’est qu’une diversion et que, en réalité, le vrai débarquement aura lieu dans le Pas-de-Calais, trois jours plus tard. C’est l’objectif de l’opération ultra-secrète Fortitude. Fortitude est à la fois un grand roman d’aventures et le récit de cet épisode passionnant de la Seconde Guerre mondiale. Une histoire haletante, faite d’amour et d’héroïsme, de sacrifices et de trahisons, qui mêle admirablement la fiction à la réalité.