Barry Miles
In the seventies, aventures dans la contre-culture
L’esprit des sixties ne s’est pas évaporé le 31 décembre 1969… De l’activisme radical des Weathermen aux extravagances d’Harry Smith au Chelsea Hotel, des Clash aux Ramones, de Patti Smith aux New York Dolls et aux Sex Pistols, d’Allen Ginsberg à William Burroughs, des thèses révolutionnaires de Wilhelm Reich à l’explosion punk, ces souvenirs autobiographiques nous plongent dans les aventures de la contre-culture.
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Trop vite
« Je ne me plains pas, j’explique. Je réfléchis – un petit peu. J’ai 24 ans, quand je me regarde dans une glace, je vois une fille jeune, mais derrière mon image, j’ai l’impression d’être beaucoup plus vieille. Ce que j’ai vécu, je veux le raconter. Dire enfin ma pensée, mon ressenti. Reprendre le contrôle de ma vie. Ces dernières années ressemblent à un petit roman d’aventures où on rit, où on pleure, où on aime et n’aime pas. J’ai fait tout ça à fond. Je ne crache pas dans la soupe, j’explique… Pour remercier ceux qui m’ont soutenue en espérant les divertir. Et être moins méprisée par les autres – si possible… »
Tes larmes et ton sang
Oublier. Voilà pourquoi Dana Dupinsky se consacre vingt-quatre heures sur vingt-quatre au foyer qu’elle dirige à Chicago, et se dévoue autant aux femmes victimes de violence qu’elle y accueille. À ces femmes, elle met un point d’honneur à ne jamais poser de questions sur leur passé. Pourtant, elle donnerait cher pour cerner la véritable personnalité de Jane Smith, une nouvelle pensionnaire qui lui inspire un malaise profond. Pourquoi a-t-elle l’impression que cette femme au regard étrange cache quelque chose de trouble ? Et pourquoi Alec, son fils de douze ans, est-il si léthargique, si absent ? Sa sombre intuition va se confirmer tragiquement : quelques jours seulement après son arrivée, Jane prend la fuite avec l’enfant. Horrifiée, Dana apprend alors que sa pensionnaire est en réalité une dangereuse psychopathe tout juste sortie de prison, et qu’Alec n’est pas son fils : elle l’a enlevé…
Devine qui je suis
Le Prétendant est de retour – c’est une certitude pour le lieutenant Taylor Jackson. Et, cette fois, il a recruté des psychopathes à travers tout le pays pour l’aider à accomplir son sanglant dessein. Déjà, des meurtres ont été commis simultanément aux quatre coins de l’Amérique, portant les signatures de célèbres tueurs en série aujourd’hui hors d’état de nuire. Pendant que les disciples du Prétendant mettent en scène leurs hommages morbides, forçant la police et le FBI à disperser leurs effectifs, Taylor se prépare, elle, à l’inévitable face-à-face avec le Prétendant. Un défi qu’elle devra relever seule. Car il est hors de question qu’elle mette ses proches en danger de mort – y compris John Baldwin, profileur du FBI, mais aussi son fiancé.Pourtant, face à l’isolement, aux victimes qui s’additionnent, Taylor ne tarde guère à douter : seule, pourra-t-elle démasquer son pire ennemi qu’elle soupçonne de se cacher dans son entourage ? Ou bien ne risque-t-elle pas de se jeter dans le piège que le Prétendant a peu à peu refermé autour d’elle pour mieux l’atteindre ?
Dis-moi pourquoi
Elle a un problème, Julie : les hommes la quittent mais ne lui disent jamais pourquoi. Lors d’un séjour chez ses parents dans les Pyrénées, elle rencontre un jeune inspecteur du fisc, qui la quitte le jour de leurs fiançailles. Sans lui dire pourquoi. Mais nous qui avons lu le livre, on sait pourquoi ! Dis-moi pourquoi est aussi la peinture – au pistolet dirait l’auteur – d’une bourgeoisie décomposée, burlesque, égoïste, immorale et, ainsi que le montre la fin du livre, complètement folle.

