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Barry Miles
In the seventies, aventures dans la contre-culture
L’esprit des sixties ne s’est pas évaporé le 31 décembre 1969… De l’activisme radical des Weathermen aux extravagances d’Harry Smith au Chelsea Hotel, des Clash aux Ramones, de Patti Smith aux New York Dolls et aux Sex Pistols, d’Allen Ginsberg à William Burroughs, des thèses révolutionnaires de Wilhelm Reich à l’explosion punk, ces souvenirs autobiographiques nous plongent dans les aventures de la contre-culture.
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Tes larmes et ton sang
Oublier. Voilà pourquoi Dana Dupinsky se consacre vingt-quatre heures sur vingt-quatre au foyer qu’elle dirige à Chicago, et se dévoue autant aux femmes victimes de violence qu’elle y accueille. À ces femmes, elle met un point d’honneur à ne jamais poser de questions sur leur passé. Pourtant, elle donnerait cher pour cerner la véritable personnalité de Jane Smith, une nouvelle pensionnaire qui lui inspire un malaise profond. Pourquoi a-t-elle l’impression que cette femme au regard étrange cache quelque chose de trouble ? Et pourquoi Alec, son fils de douze ans, est-il si léthargique, si absent ? Sa sombre intuition va se confirmer tragiquement : quelques jours seulement après son arrivée, Jane prend la fuite avec l’enfant. Horrifiée, Dana apprend alors que sa pensionnaire est en réalité une dangereuse psychopathe tout juste sortie de prison, et qu’Alec n’est pas son fils : elle l’a enlevé…
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Elle a un problème, Julie : les hommes la quittent mais ne lui disent jamais pourquoi. Lors d’un séjour chez ses parents dans les Pyrénées, elle rencontre un jeune inspecteur du fisc, qui la quitte le jour de leurs fiançailles. Sans lui dire pourquoi. Mais nous qui avons lu le livre, on sait pourquoi ! Dis-moi pourquoi est aussi la peinture – au pistolet dirait l’auteur – d’une bourgeoisie décomposée, burlesque, égoïste, immorale et, ainsi que le montre la fin du livre, complètement folle.
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En 2006, Anne de Rancourt, mère admirable de quatre jeunes adolescents, faisait rire la France entière (et certains pays adjacents) avec un inénarrable pamphlet : Comment élever un ado d’appartement ? Cinq ans plus tard, lesdits ados enfin élevés (mal) et devenus grands (dadais) refusent de quitter le cocon familial. L’auteure au bord de la « crise de mère » ne sait plus alors à quel saint se vouer pour enrayer leur « tanguysme » chronique. Il faut que jeunesse se casse ! C’est pourquoi elle imagine des stratagèmes pervers pour les persuader d’aller voir ailleurs « si elle y est ». Il faudra qu’elle leur « pourrisse grave » la vie et qu’elle s’immisce entre autres dans leurs fêtes rituelles pour qu’ils se décident enfin à ouvrir un œil sur ce qui les attend hors du cocon familial. Mais leur mère si aimante acceptera-t-elle de les laisser partir ? C’est tout le paradoxe de ce livre aussi drôle qu’émouvant.
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Pour Sara, marchande d'art chez Perfect Touch, la Muse représente bien plus que l'unique portrait peint par le célèbre Custer. C'est un défi, une quête, l'oeuvre qui donnera à sa carrière l'élan dont elle a besoin. Encore faut-il mettre la main dessus?Pour cela, elle est prête à tout. Et même à délaisser son cher San Francisco pour un ranch perdu au fin fond du Wyoming. Car c'est là-bas qu'a vécu Custer, au milieu des montagnes majestueuses et des prés verdoyants. C'est là-bas que l'a invitée Jay Vermilion, l'héritier du peintre, un homme aussi sexy que différent d'elle.Seulement voilà, arrivée sur place, Sara comprend qu'elle est loin d'être la seule à s'intéresser au tableau. Tandis que Jay subit de fortes pressions de la part de sa belle-mère qui tente de lui ravir son héritage, un couple est retrouvé assassiné au ranch Vermilion. Le prélude à une série de menaces qui s'abattent bientôt avec violence sur Sara et son troublant cow-boy ?

