- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Iznogoud – Tome 27 – La faute de l’ancètre
Goscinny, Tabary
Iznogoud – Tome 27 – La faute de l’ancètre
« Je veux être calife à la place du calife » , répète inlassablement Iznogoud. Cette formule est l’une des trouvailles les plus célèbres de René Goscinny. L’expression est d’ailleurs aujourd’hui passée dans le langage courant. Iznogoud voit le jour dans « Les vacances du Petit Nicolas » sous la plume de René Goscinny. Un moniteur de colonie raconte en effet aux enfants l’histoire d’un ignoble vizir qui veut prendre la place du calife ! René Goscinny et le dessinateur Jean Tabary créent en 1962 le personnage d’Iznogoud. Initialement, la série s’intitule « Les aventures du calife Haroun el Poussah » et paraît dans le premier numéro du magazine Record. Mais très vite l’ignoble vizir prend le pas sur le calife et devient le héros titre. Le duo signera dix-sept albums. En mai 1968, Iznogoud rejoint dans le légendaire magazine Pilote, Astérix et Lucky Luke, les autres personnages de René Goscinny. Puis, à partir d’octobre 1974, Iznogoud devient chroniqueur et commente l’actualité dans le Journal du Dimanche. Après la disparition de René Goscinny en novembre 1977, Jean Tabary réalise seul les aventures d’Iznogoud. En 2011, le dessinateur rejoint son ami scénariste au paradis des humoristes. Mais le personnage d’Iznogoud a acquis une notoriété telle qu’il survit à ses créateurs et vivra, animé par d’autres, de nouvelles aventures.
Vous aimerez aussi
Blanc comme neige
Tout à commencé par un simple coup de téléphone. A 4 heures du matin et anonyme, bien sûr ! Un détraqué venait de vous coucher sur sa liste noire. Quand, enfin, vous réalisez ce qui vous arrive, il est déjà trop tard. Il ne vous reste plus que sept jours à vivre… et le temps tourne à la neige.
Le Capital
A travers les aventures de Marc Tourneuillerie, patron de la plus grande banque européenne, ce roman est la satire la plus féroce, la plus drôle et la plus efficace que l’on ait jamais écrite sur le monde capitaliste actuel. On y découvre la vie d’un établissement financier où la soif d’argent et de pouvoir s’habille des atours de la rationalité gestionnaire. On y évolue dans les milieux de l’élite économique et de la jet-set internationale entre Paris, Londres, New York, Davos, Tokyo… On y vit dans les paradis artificiels de la drogue, les images artificielles d’Internet, la bulle artificielle des fortunes éphémères, le temps artificiel du décalage horaire, le sexe artificiel des fantasmes délirants. Bienvenue dans le monde merveilleux du capitalisme à ciel ouvert !
Le Rapport Omertà 2004
Que cachaient les procès-verbaux de l’affaire Alègre ? Pourquoi le scandale a-t-il été étouffé ? À quoi est due l’incroyable discrétion de la COB, qui fut le gendarme de la Bourse ? Qui organisait le racket au RPR selon les chefs d’entreprise cités au procès Juppé ? Comment le juge Courroye enquête-t-il ? Qui sont ses ennemis ? Manipulations médiatiques, affaires trop vite classées ou règne de la loi du silence : Le Rapport Omertà répond à toutes les interrogations qui restent en suspens. Un document à plusieurs voix qui s’attaque aux vérités interdites de la société française et dévoile enfin la face cachée de l’actualité.
Le bal des louves – Tome II – La vengeance d’Isabeau
1531. A Paris, Isabeau est devenue lingère du roi François 1er, qui apprécie sa compagnie. L’ancienne petite sauvageonne d’Auvergne gère de main de maître une boutique où les plus belles soieries de la Cour sont taillées et brodées. A ses côtés virevolte sa petite-fille, Marie, adolescente rieuse et insolente, adorée à la cour des Miracles où elle à longtemps vécu cachée. Avec son ami d’enfance, le jeune Constant, fils du nain Croquemitaine, elle ne cesse de provoquer la police du roi. Mais cette nouvelle vie bien ordonnée va bientôt basculer. Un chargé de justice vient d’être nommé à Paris, et celui-ci n’est autre que François de Chazeron. Il est venu les traquer. La fuite n’est plus de mise, les femmes-loups devront affronter le cruel seigneur auvergnat. Et c’est unies toutes quatre, la maudite, la survivante, la louve et l’innocente, qu’elles se battront une dernière fois pour conquérir enfin leur liberté.