Meg Cabot
Journal d’une Princesse 3 – Une Princesse amoureuse
Ce n’est déjà pas facile d’être à la fois lycéenne à New York et princesse héritière de la principauté de Genovia. Voilà qu’en plus, Mia est amoureuse du frère de sa meilleure amie, Michael, qui ne semble pas du tout s’intéresser à elle… Que faire ? Se désespérer, faire semblant de s’intéresser à Kenny pour rendre Michael jaloux ? Renoncer ? Non, une Princesse ne renonce jamais !
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L’écran rouge
A partir de 13 ans – Au fond de la galerie, l’écran rouge attend. Un rouge menaçant, envoûtant. Un rouge guet-apens. Impossible de ne pas l’acheter, de ne pas emporter la toile pour la contempler à loisir, toutes portes fermées… Mais attention! Ce tableau possède d’étranges pouvoirs…
La vie peut-être
Pour adolescents – Sofia est morte et Florian est à terre. Il ne parvient pas à se relever, à accepter l’absence. Il ne la comprend pas et refuse de vivre avec. Une seule issue : revenir sur les lieux de la tragédie, dans l’hôpital psychiatrique où on avait enfermé Sofia. Là-bas, Florian cherche des traces, des preuves de l’existence de son amie. Il rencontre Mehdi, un soignant qui s’occupe de lui. Mais Florian ne veut pas être aidé. Mehdi tient bon, l’oblige à entrer en relation avec les autres. Peu à peu, Florian baisse les armes, et un lien invisible se tisse entre les deux garçons. Et si la vie reprenait ses droits avec le chiffre deux ?
Pris sur le vif
Personne ne savais grand-chose sur Adam Bates, à part qu'il était bizarre et renfermé. Il venait d'une classe d' »adaptation », comme ils disent, et je supposai qu'il avait été libéré pour bonne conduite, à la manière d'un prisonnier, afin de suivre le cours de sciences avec notre admirable classe « adaptée ». Il s'installa à côté de moi et il me plut tout de suite. Moi qui voulais devenir reporter photographe, je tenais là un excellent sujet…
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»