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Gerry Marino Francine Fortier
La nouvelle famille
Vous allez refaire votre vie, vous avez des enfants, votre nouveau conjoint aussi ? Votre objectif : refonder une famille, construire un foyer stable et fort. Comment composer avec une progéniture issue de mariages antérieurs ? Comment faire cohabiter beaux-parents, beaux-enfants, demi-frères, demi-sœurs ? Quels sont les droits des uns et les devoirs des autres ? Comment concilier intimité conjugale et exigences de la vie familiale ? Comment s’aimer, se préserver pour donner à chacun sa vraie place, celle qui garantira à tous un juste équilibre et un épanouissement des sentiments ? Exemples à l’appui, ce livre offre des solutions adaptées à chaque famille et à chaque personne. Il aide à faire un succès d’une aventure à priori hasardeuse.
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Ailleurs et autrement
Le présent volume rassemble une trentaine de textes très divers d’Annie Le Brun. Constitué d’une vingtaine de chroniques libres parues dans la Quinzaine littéraire entre 2001 et 2007 et d’une dizaine d’autres écrits (préfaces, contributions à des colloques et des catalogues d’exposition, etc.), Ailleurs et autrement balaie un spectre très large. Des observations sur la langue des médias (« Langue de stretch ») côtoient des réflexions sur l’alimentation (« Gastronomie : qui mange qui ? »), une tentative de réhabiliter des auteurs oubliés tels Éric Jourdan ou François-Paul Alibert (« De la noblesse d’amour ») alterne avec des attaques contre le « réalisme sexuel » et l’appauvrissement de nos horizons littéraires et culturels. Des expositions vues et des livres lus, souvent des rééditions d’oeuvres rares, alimentent une pensée en perpétuel mouvement qui s’intéresse autant à des figures comme José Bové (« La splendide nécessité du sabotage »), à la déforestation en Amazonie, la lingerie de Chantal Thomass ou encore les céréales transgéniques. Annie Le Brun puise le plus souvent ses références dans le surréalisme ou encore dans l’oeuvre d’Alfred Jarry pour mieux se moquer du ridicule de notre temps et s’insurger contre les insuffisances de notre société, et elle le fait avec un esprit critique aiguisé qui ne manque jamais d’humour. Son envie d’en découdre avecles modes intellectuelles de notre époque s’exprime avec panache, et ce petit volume devrait par conséquent ravir tous ses lecteurs.
Comment faire rire un paranoïaque ?
Que se passe-t-il entre un psychanalyste et son patient ? Qu’est-ce que cette relation a de particulier ? Pourquoi, dans des cas trop nombreux la cure ne procure-t-elle aucun bienfait ? Pourquoi, bien souvent, est-elle le théâtre de détériorations persistantes ? » François Roustang excelle dans ce texte très polémique. » (Corinne Ehrenberg, Esprit.) » François Roustang : un hérétique particulièrement astucieux, des essais toujours surprenants et excitants pour l’esprit. Ce qu’il nous propose : un » gai savoir » de l’inconscient. Il y a donc urgence à le lire et à le relire. «
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Le divorce expliqué à nos enfants
Pourquoi divorce-t-on si souvent aujourd’hui ? Comment peut-on se séparer, et quelquefois se détester, lorsqu’on a tout partagé au point de concevoir ensemble des enfants ? Les questions des adolescents sur le divorce laissent en général les adultes sans voix tant elles sont directes. Pour eux, comme pour les adultes, la rupture représente une épreuve dont il ne se sert à rien de minimiser les effets. Ne sont-ils pas les premiers concernés par les déménagements, les changements d’école ou l’apprentissage d’une nouvelle organisation familiale, souvent contraignante ? Comment leur donner les moyens de se construire en confiance, sans rien renier de leur histoire personnelle, entre deux maisons et deux univers différents ? A partir d’exemples vécus, les auteurs s’attachent à dédramatiser une situation douloureuse et à dégager les repères dont tout enfant a besoin lorsque ses parents se séparent.