Jean-Claude Bourret
La nouvelle vague des soucoupes volantes
On ne compte plus les témoins qui déclarent avoir vu des OVNI (Objets Volants Non Identifiés), accompagnés souvent de petits humanoïdes. En France, c’est la Gendarmerie nationale qui recueille les dépositions, et la bonne foi de leurs auteurs peut difficilement être mise en doute. Pour faire le point de la situation, Jean-Claude Bourret a rassemblé, dans une longue série d’émissions, les témoignages les plus divers : hommes et femmes du monde entier qui ont eu l’occasion d’observer des OVNI, et savants qui essaient de donner une explication rationnelle. Le dossier est complet. A vous de juger maintenant !
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Rodogune
Cléopâtre, ambitieuse reine de Syrie, épouse de Nicanor et mère d'Antiochus et de Séleucus, est maladivement jalouse de la jeune princesse Rodogune, sœur du roi des Parthes. Sa jalousie pousse Cléopâtre à tuer Nicanor et à promettre sa couronne à celui de ses fils qui tuera Rodogune. Elle ignore cependant qu'Antiochus et Séleucus sont amoureux de la princesse.
L’amateur d’escargots
Grand Prix de l’Humour noir en 1975, L’Amateur d’escargots occupe une place à part dans l’oeuvre mondialement connue de Patricia Highsmith. Ces onze nouvelles, si on y retrouve l’ambiance psychologique inquiétante et l’art du suspense caractéristiques de leur auteur, font une place singulière au fantastique. Un homme d’affaires fasciné par les escargots plonge au coeur du cauchemar; deux sueurs âgées n’ont plus d’autres relations qu’un tissu quotidien d’abominables petites méchancetés; des gastéropodes géants et anthropophages se livrent à une hallucinante chasse à l’homme… Une lecture dont on ressort avec un « sentiment de danger personnel », ainsi que l’écrit en préface le romancier Graham Greene
–Ce texte fait référence à l’édition
La mort à Venise suivi de Tristan et du Chemin du cimetière
La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d’âge mûr et l’apparition d’un gracieux adolescent d’une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s’offre à l’héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d’artiste ou mourir de musique. La fin de Lobgott Piepsam dans Le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d’une constante lâcheté. C’est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, le plus célèbre écrivain allemand de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers d’un sarcasme. Introduction et notes d’Armand Nivelle.
La ménopause effacée
La ménopause ne peut pas être considérée comme un simple événement chronologique. Se cantonner à cette définition simpliste ne serait pas une attitude objective, et conduirait à une dangereuse désinvolture : l’ignorance des phénomènes qui l’accompagnent, des complications et des dégénérescences qui la suivent. La réalité et l’universalité des troubles qu’elle occasionne, leurs conséquences physiques, fonctionnelles, physiologiques et sociales, la décompensation de pathologies pré-existantes, jusque-là bien contenues, les conséquences dangereuses à long terme des perturbations trophiques ou métaboliques et les pathologies invalidantes qu’elles entraînent, sont autant de faits objectifs qui n’autorisent ni la légèreté, ni la négligence, ni l’ignorance. Ce n’est pas en ignorant, en niant ou en minimisant les faits déplaisants ou insupportables qu’on les supprime. Le désintérêt, la méconnaissance que rencontrent les femmes à ce sujet, la solitude où elles restent, ou sont rejetées, ne sont pas de bons moyens de les aider, ni d’effacer leurs problèmes.

