Jacques Cassabois
Le chevalier Tristan
Parmi les plus célèbres héros de la légende arthurienne, Tristan occupe une place unique. Son titre de chevalier dévoué à la cause du roi Marc, et son amour pour la reine Iseut font de lui une légende à part entière. Les principaux épisodes de ce destin extraordinaire sont réunis dans ce texte inédit : le duel contre le monstre Morholt, la conquête d’Iseut, le philtre d’amour, le bannissement, jusqu’à la mort tragique des deux amants.
Vous aimerez aussi
Esther
Racine écrit Esther à la demande de Madame de Maintenon. C’est une tragédie biblique en trois actes et en vers. Conseillé par Aman, le roi Assuérus va faire connaître un arrêt visant à condamner à mort tous les Juifs du royaume perse. Aman est furieux d’avoir dû porter Mardochée en triomphe, mais il croît que l’invitation de la Reine Ester est une marque de faveur. Esther révèle -à Assuérus qu’elle aussi est juive et que c’est pour des raisons néfastes qu’Aman veut les faire mourir. Assuérus comble Mardochée d’honneurs et Aman est mis à mort par le peuple.
Nicomède
Cette tragédie met en scène deux frères, Nicomède et Attale, nés du même père, Prusias, roi de Bithynie. Attale, fils issu de l’union avec Arsinoé, seconde épouse de Prusias, a été élevé à Rome d’où il est revenu récemment. Arsinoé, ambitieuse qui règne à la cour et domine son mari, déteste Nicomède et veut placer son jeune fils sur le trône à la place de l’aîné. De plus, Laodice, jeune reine d’Arménie confiée à Prusias par son père, est aimée des deux frères mais porte sa préférence sur Nicomède.
Les plaideurs
Les Plaideurs est une comédie en trois actes et en vers (884 alexandrins). C’est la seule comédie qu’il ait écrite. Il s’est inspiré des Guêpes d’Aristophane mais en a retiré toute la portée politique. Un juge sort de chez lui par la fenêtre, des chiots urinent sur la scène, deux jeunes amoureux se jouent du père de la jeune fille, le tout en alexandrins.
Mademoiselle Fifi
Mademoiselle Fifi est publiée pour la première fois dans le Gil Blas du 23 mars 1882, puis reprise dans un recueil homonyme. Dans cette œuvre, Maupassant reprend les thèmes de la guerre et de la prostitution qui ont fait son succès. Il reprend également les thèmes du libertinage, prend parfois des aspects macabres et pose des interrogations sur la mort.