- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le mercenaire -4- Le sacrifice
V. Segrelles
Le mercenaire -4- Le sacrifice
Roi de l’heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
Vous aimerez aussi
Celles qui n’ont jamais rien à se mettre
Un guide pratique et insolent. 100 pages de conseils, un test et un carnet d’adresses. 35 couturiers croquent l’élégance 88. Le témoignage de 15 hommes et de 15 femmes célèbres.
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
Le Royaume du Nord – Tome V – L’Angélus du soir
Bien des hivers ont passé sur le Royaume du Nord. Sur les rives glacées de l’Harricana, les cités pionnières ne sont plus que villes fantômes. Labrèche reste seul désormais, gardien obstiné de cette terre. Seul avec son cheval, dernier témoin de sa solitude et de son labeur harassant. L’irréductible maudit les déserteurs, amis, voisins, enfants, tous enfuis vers ces grandes métropoles de bureaucrates et de mécaniciens. Mais pourquoi s’écharne-t-il ainsi ? Pourquoi, dans ses rêves et ses hallucinations, feint-il de croire que la vallée vit encore ? Est-ce folie, est-ce prescience ? Labrèche sait qu’un jour, ils reviendront et que l’angélus sonnera à nouveau au clocher de Val Cadieu.