- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le singe
Stephen King
Le singe
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L’œil vitreux. Un diable qui sort d’une boîte. Hal l’avait l’avait précipité au fond d’un puits. Et voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ces ailes noires. Et comme un écho venu de l’enfer, ces horribles cymbales qui s’entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort. Partout, l’ombre de la mort plane. Quand elle ne s’incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle elle rôde dans le chenal, attirant par son chant, les vivants en sursis. Stella, quand viendras-tu de l’autre côté, sur le continent? Traverser le chenal à 95 ans! Une invitation certes, mais au grand voyage. Chez Stephen King, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d’apocalypse.
Vous aimerez aussi
Syncopes
Quand Cassandra Cassidy, une jeune interne à l’hôpital de Boston, épouse le docteur Thomas Kingsley, c’est pour elle un rêve devenu réalité. Le docteur Kingsley est le chirurgien en cardiologie le plus brillant de la ville, et peut-être de la côte Est. Son talent, sa fortune et son charme en font un parti presque inespéré pour cette jeune femme intelligente et courageuse, mais timide. Pourtant, ce qui aurait pu être un conte de fées dégénère. Entièrement dévoué à ses malades, Thomas se conduit de plus en plus en étranger hostile avec celle qui l’aime. Au moment où le mariage de Cassandra vacille, la rassurante sécurité du monde hospitalier semble, elle aussi, menacée : Cassandra est persuadée qu’à l’hôpital de Boston quelqu’un tue en provoquant des syncopes mortelles. Quelqu’un décide qui doit vivre et qui doit mourir.
Le nuisible
Un envoi anonyme vous raconte par le menu quelques faits de votre vie, de ceux que vous avez préféré cacher à votre femme, à vos amis et relations… Vous attendez logiquement que ce maître-chanteur très bien renseigné fasse connaître ses exigences. Erreur. Votre correspondant vous veut du bien. Il vous révèle les trahisons dont vous êtes victime. Il vous suggère d'écrire la suite, d'imaginer la punition, de donner des ordres aux puissances de l'ombre… Il suffit de vouloir. Georges, éditeur de « thrillers » à succès, ne résiste pas à la tentation grisante d'utiliser ce serviteur sans visage. Et nous entrons sur ses pas dans un labyrinthe où le chasseur et la proie, la victime et le bourreau, s'échangent indéfiniment les rôles dans un cauchemardesque jeu de miroirs.
Crimes à vendre
Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIème arrondissement. Signé : Le Furet. Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. A moins que… A moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIème arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Un crime est si vite arrivé… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIème qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.