Tom Tirabosco, Véronique Grisseaux
Léo & Léa (1) – Cette chère Alicia
Cette bande dessinée est dans un très bon état –
Rentrée au collège difficile pour les jumeaux, Léo et Léa. Ils ont tout de suite affaire à cette pimbêche d’Alicia. Mais les deux nouveaux sont coriaces, pleins de ressources et se feront vite des alliés (en plus, leurs parents sont magiciens – génial!). L’année sera riche en rebondissements et Alicia va avoir du fil à retordre avec « les deux zarbis » !
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Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Manuel Montano
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Apparu pour la première fois en août 1988 dans les pages du mensuel (À Suivre), Manuel Montano, détective privé de son état, apparaît comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart et Buster Keaton – sans oublier un soupçon de Jack Palmer pour la poisse et la déveine. L’imper mastic trop grand pour lui, le sourire en berne et l’énergie à plat : le moins qu’on puisse dire est que Manuel Montano, avec son scooter fatigué et ses méthodes qui ne le sont pas moins, ne donne pas l’impression d’être un aigle… Et pourtant, au fil de la demi-douzaine d’enquêtes qui composent ce recueil, on se prend d’affection pour cet éternel maladroit si peu efficace et tellement humain. Et si Manuel, finalement, était un peu le reflet de chacun d’entre nous ?
Rouge est le sang des noirs
Johannesbourg et ses mines d’or, quel monde fascinant pour ce Xuma, fort de toute la jeunesse de sa race et de toute la vigueur de ses ancêtres paysans. Mais Xuma ignore tout de la ville, et c’est douloureusement qu’il découvrira le sort inhumain réservé à son peuple. L’odieuse discrimination raciale le meurtrira jusque dans son amour. Être plongé dans les faits, dans la vie quotidienne des bas-fonds de Johannesburg, vivre avec les reines du « skokiaan » dans leurs débits de boisson clandestins, suivre pas à pas dans leurs amours éphémères Xuma et sa fiancée obsédée par le standing européen, travailler dans les mines d’or, et souffrir avec ces esclaves, et lutter avec eux pour être fidèle à l’espérance d’une juste fraternité des hommes.
Nero (1) – La cinquième victime
Cette bande dessinée est dans un très bon état –
Brescia, Italie, de nos jours. Giuliano Nero, un ex-flic devenu détective privé, végète dans une sorte d’indifférence grise et apathique. Décalé, démotivé, absent. Jusqu’à ce qu’un homme, venu vers lui en désespoir de cause, parvienne à le sortir de sa torpeur : le père d’une jeune femme assassinée récemment, Silvia, retrouvée égorgée dans une scierie. Les terribles blessures qu’on lui a infligées ont été grossièrement recousues sur les lieux du crime, très certainement par son assassin. Un suspect « un repris de justice » a été arrêté presque aussitôt, et accusé du meurtre. Lors de son procès, l’homme, schizoïde avéré, reconnaîtra même les faits. Mais cette version ne parvient pas à convaincre le père de Silvia. Pétri de doutes, Nero se lance sur la trace du véritable criminel, resté impuni. La première piste sérieuse que lui fournit son enquête est celle d’un chenil, qui a tenté de joindre Silvia trois jours avant sa mort.