- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 1
Gaby, Dzack
Les blondes 1
« Tu connais l’histoire de la blonde qui… » Ben oui, on les connaît toutes les histoires contenues dans cet album. Quelle différence avec les autres séries à base d’histoires illustrées supposées drôles qui poussent à l’ombre de plantes à tige cylindrique ligneuse à nœuds cloisonnant, parfois oxygénées par quelque brise occidentale ? Vous prenez votre Joker ? Celle-ci s’expose en plein Soleil.
Vous aimerez aussi
Zorro
Qui est Diego de la Vega, alias Zorro, le justicier masqué que nous connaissons tous ? Isabel Allende, avec l'humour qui la caractérise, nous emmène dans les coulisses de la légende. Né dans le sud de la Californie à la fin du XVIIIe siècle, Diego de la Vega est l'enfant de deux mondes. Son père, un gentilhomme espagnol, et sa ravissante mère à moitié indienne façonnent sa double personnalité. Après une enfance riche d'enseignement, du maniement de l'épée à l'initiation aux rites de sa tribu, il embarque à quinze ans pour Barcelone. Le maître d'armes Manuel Escalante repère cet élève doué, contribue à parfaire son éducation et l'accueille dans une société secrète, La Justice, qui combat toutes les formes d'asservissement. Avec à ses côtés le fidèle Bernardo, Zorro déploie des talents exceptionnels puis il retourne en Californie pour continuer sa lutte contre les injustices, devenant un symbole d'espoir pour les faibles et les opprimés.
Vitriol Menthe
Ce livre est le roman vécu d'une icône. Une femme rare. Célèbre et inconnue. Ange et démon. Louve et agneau. Entre l'amour et la mort. Les larmes et les rires. Elle est mon amie, ma soeur d'âme. Elle a bien voulu me confier une partie de ses secrets. Certains étaient aussi les miens puisque nos chemins se sont croisés, superposés, fondus. Fille de campagne, militante féministe, actrice des tout premiers films X, elle fut surtout patronne dans les vingt dernières années de clubs libertins mythiques – le 106 puis le 41 -, où se mélangeaient anonymes et célébrités. Je vous propose de suivre avec elle, au-delà de son chemin personnel, l'évolution des moeurs sexuelles avouées ou cachées de la France buissonnière. Tout ce qui est raconté ici est vrai, étonnamment vrai. C'est aussi l'électrocardiogramme d'une époque étrange. C'est surtout l'histoire d'une trajectoire étonnante et violente. Il y a dans tous les recoins de la débauche d'immenses pudeurs, d'incommensurables trésors d'amour pur et des profondeurs d'âme insondables. Elle s'appelle Denise. C'est son vrai nom.
Vatican 2035
Il y a quelque temps, je m’agenouillai dans l’obscurité d’un confessionnal. Et je fis cet aveu à un prêtre : la fureur m’envahissait à la vue de mon Église, tellement impuissante, si peu crédible. Mon confesseur, ne sachant pas bien sûr à qui il s’adressait me prêcha l’humilité : » Faites ce que vous pouvez… » M’aurait-il parlé aussi librement s’il avait vu mon visage, s’il avait compris qui j’étais ? Certainement non. Ainsi en est-il, également, pour ce livre : que chacun le lise pour ce qu’il raconte sans être influencé par la personnalité de l’auteur. S’il s’était agi d’un traité, ou d’un essai, peut-être aurait-on trouvé ici des traces de mon amertume. Mais pour rêver un autre avenir, j’ai préféré à travers un roman créer des personnages de chair et de sang – Paddy, Paul, Leah, Jeanne-Marie, Kate… et Thomas Ier, un pape qui va enfin révolutionner l’Église. – Pietro De Paoli
La mauvaise vie
À chaque étape de sa journée, il se demande s’il ne fait pas fausse route. S’interroge sur l’abîme séparant la « mauvaise vie » qu’il mène, d’une autre, qui aurait pu s’accomplir. Pourquoi vouloir à tout prix reconstituer un simulacre de famille ? Perdre son temps à faire de la radio alors qu’on est doué pour l’écriture ? Devenir spécialiste des princes et des princesses alors qu’on se passionne pour les peuples opprimés ? Et puis il y a les nuits qui, elles aussi, ne devraient pas être celles ce qu’elles sont… Au fil de ces réflexions, le personnage regarde en arrière, et retrouve des moments de son enfance… L’autobiographie la plus juste n’est-elle pas celle de la vie qu’on aurait dû mener ?