- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 2
Gaby, Dzack
Les blondes 2
Stéréotypes et fantasmes se mêlent pour aboutir à la conclusion suivante : les hommes préfèrent les blondes ! Belles, séduisantes, naïves, gourdes et maladroites, ils les convoitent, ils les exhibent comme un trophée puis… ils se lassent. Comme toutes bonnes choses, il ne faut donc pas en abuser… Sauf pour en rire ! Laissez-vous séduire par Les Blondes, un album de gags hilarants. Et qui sait peut-être en riront-elles également. (Enfin, si elles les comprennent…)
Vous aimerez aussi
Le communisme, une passion française
Une analyse fouillée et sans concession des causes de la persistance du communisme en France. Au moment où mondialisation, antilibéralisme, crise européenne et chômage élevé exhument la lutte des classes, Marc Lazar en décortique les ressorts, via le communisme. Déconsidéré comme expérience historique du pouvoir, dénué de crédibilité comme projet, le communisme jouit d’une étonnante bienveillance d’ordre moral. Ses partis sont groupusculaires, mais l’affiche séduit encore. Le passé communiste borne l’horizon de notre présent, car il exprime à la fois la passion soviétique, la passion totalitaire, la passion de la nation, la passion du social et la passion du bonheur. C’est l’histoire de cette curieuse passion tricolore que brosse, pour la première fois, Marc Lazar.
Nature morte à la grenade
Les intrigues d’Inga Abele ont pour cadre la Lettonie d’aujourd’hui où ses personnages se débattent dans des relations compliquées et parfois douloureuses. » Analyse profonde, psychologie impitoyable et paysages forts « , voici comment le style de ce jeune auteur est caractérisé par ses pairs. Ce premier livre d’Inga Abele à paraître en français réunit quatre nouvelles traduites du letton par Gita Grinberga et Henri Menantaud : Nature morte à la grenade, Les fleuves de nos pays, Offrez-moi un violon, Les années d’amour.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
Comment peut-on être français ?
Roxane arrive à Paris. Comme bagage, elle n'a que son enthousiasme, sa naïveté, son désir et sa rage d'apprendre le français. Elle veut devenir française par la langue. Mais la langue française se révèle implacable, une compagne infidèle. « Quelle belle garce cette langue, la plus belle. Quelle belle grâce cette langue, la plus belle. » Les bribes d'une enfance iranienne troublent son monde parisien. Les souvenirs murmurent tout bas. Elle se découvre un confident mythique : Montesquieu. Elle se raconte et raconte le monde d'aujourd'hui à l'inventeur des Lettres persanes. Dans une écriture où l'imaginaire se confond avec le réel, où la drôlerie et la fantaisie le disputent à la mélancolie et à l'amertume, la vie d'une jeune femme est mise en scène une femme qui connaît le prix à payer pour ne pas perdre pied face à la réalité. Ce roman, souvent proche du conte, impressionne par la légèreté, l'humour et la sobriété de ton. Un roman de formation. Une histoire à suivre.