- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 3
Gaby, Dzack
Les blondes 3
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Bonjour. Vous n’êtes pas sans savoir que Les Blondes sont de retour dans les librairies de France, de Belgique et même du Québec ! Avec la parution de ce troisième recueil de blagues sur les blondes, Gaby & Dzack continuent à propager la Blonditude Attitude (Prononcez Blonditioude Attitioude, comme dirait l’humoriste Anne Roumanoff). Mais qu’est ce que la B.A. ? Chose primordiale, qui, je l’espère, paraîtra logique à nos lecteurs bruns et roux, il faut être BLOND, et encore mieux, être BLONDE. Ensuite, un coup d’œil aux planches de Dzack nous apprend également qu’il faut que ces demoiselles soient assez jeunes, plutôt bien faîtes (comprenez 95 C minimum) et si possible mettant leurs atouts en valeur (comprenez minis jupes et décolletés plongeants à gogo).
Vous aimerez aussi
Bouche cousue
Pour la première fois, je désire un enfant. Je fais ce livre pourtoi, l'enfant qui viendra un jour, pour que tu échappes aux mots qui ont tissé ma muselière. Il y a des gens, que nous ne connaissons pas, et qui saccagent mes souvenirs. Je dois maintenant les reconstituer pour t'offrir un passé différent des livres d'histoire et des piles de journaux. Pendant cinquante-huit ans, il n'était pas mon père. Tu trouveras ces cinquante-huit ans autre part. Tu comprendras qu'ils ne m'appartiennent pas. Qu'ils me font concurrence. Longtemps, j'ai même ignoré l'orthographe exacte de son nom. Comme tout le monde, j'hésitais entre un R ou deux. J'en avais honte, aussi ne pouvais-je demander à ma mère, encore moins à mon père, comment écrire M-i-t-t-e-r-r-a-n-d. Il ne m'a pas tout raconté. Mais il ne faaut pas croire ce que disent les autres. Les autres parlent toujours d'eux. Mon témoignage à moi est vivant. Et vivant restera ainsi ton grand-père. Mazarine Pingeot, normalienne, agrégée de philosophie, a trente ans. Ce livre est son quatrième ouvrage. Elle est chroniqueuse littéraire à la télévision et termine sa thèse de philosophie.
Le secret du temple
Au cœur des ruines millénaires de la Vallée des Rois, gît le corps sans vie d'un archéologue amateur. Chargé de l'enquête, l'inspecteur égyptien Youssouf Khalifa découvre bientôt un lien entre cette mort mystérieuse et l'assassinat, jamais élucidé, d'une touriste juive quinze ans auparavant. Malgré les mises en garde, il choisit de rouvrir ce dossier brûlant avec l'aide de l'un de ses homologues israéliens. Mais, sur les terres chargées d'histoire qui s'étendent du Nil à Jérusalem, remuer le passé peut rapidement vous entraîner vers des sables mouvants. Alors même que la menace terroriste est à son comble dans la région, l'investigation des deux policiers les mène sur la trace d'un antique et fabuleux trésor convoité par des individus prêts à tous les crimes et trahisons…
Les Parrains Corses
De 1930 à 1980, les parrains corses ont d’abord pris leur essor, entre Marseille et Paris, grâce à une solidarité clanique, des activités diversifiées, une violence rare, une implantation internationale et de solides appuis politiques. Les caïds corses ont dirigé la French Connection, filière française de l’héroïne. Ils ont été mêlés à la plupart des grands événements de l’histoire du pays, dans les coulisses du pouvoir, bénéficiant de protections hors du commun. Au début des années 80, le milieu corse a connu un tournant en s’installant à demeure sur son île. Les parrains ont profité de leurs amis haut placés et du paravent créé par l’activisme des nationalistes pour y étendre leur emprise, exerçant une pression constante sur la démocratie locale et gangrenant l’économie insulaire. Depuis le début des années 2000, ils se disputent des territoires et le contrôle d’activités criminelles qui vont de l’Afrique à l’Amérique latine.
L’empire de l’Eau
Dans l’Empire de l’eau, Yvan Stefanovitch raconte pourquoi la gauche n’a jamais exigé la nationalisation de ce bien public, sous le Front populaire et à la Libération. Ce livre fourmille d’anecdotes sur les petits et grands arrangements, la palme du double langage revenant au PCF, aussi remonté au plan national qu’accommodant au niveau local. C’est à Paris que la Générale des eaux a historiquement institué son quasi-monopole. En 1910, le débat municipal sur la reconduction de son contrat avait duré trois semaines. Rien à voir avec le débat à la sauvette organisé sous Bertrand Delanoë.