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Ferry
Les chroniques de Panchrysia – L’envol
Parce qu’à deux ans il a failli être la proie d’un rapace, Sam est demeuré fasciné par tout ce qui vole. C’est en suivant l’évolution d’étranges oiseaux mécaniques qu’il a fait la connaissance d’Eline. Emue par le récit de la triste enfance de cet orphelin, celle-ci lui explique comment elle a été confiée à Sir Joseph Black, son oncle. Après le décès de sa femme, et accompagné de son fidèle domestique Angus, son père est parti à la recherche de Panchrysia, la ville tout en or dont il a lu la description dans un très vieux livre.
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« On n'a pas été avare de commentaires sur ce J'allais vous dire… qui reparaît aujourd'hui. On s'est beaucoup interrogé sur l'identité de l'auteur avant qu'elle ne fût connue. On s'est souvent demandé si l'ouvrage était favorable au président de la République ou si, au contraire, il était un réquisitoire accablant contre lui. On a généralement négligé le reste, qui est l'essentiel à mes yeux. Et le reste, tout le reste, est littérature. […] Au fil des jours qui font date entre le 10 mai 1981 et le 28 mars 1993 […], j'ai pensé qu'avec cette matière, en suivant sa manière, on aurait les éléments rassemblés d'un portrait psychologique qui jetterait sur les événements une lumière vraie. On aura aussi quelquefois le sentiment de la justification. La cause en est dans le genre que j'ai choisi, non dans mes intentions. Chacun en jugera. »
Ces enfants d’ailleurs
Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur Tomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Tomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus… Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
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En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
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